COVID-19

70% des décès dus au vaccin de Pfizer au Japon ont été signalés dans les 10 jours suivant l’injection, affirme une étude

Le nombre de décès survenus dans les 10 premiers jours suivant la vaccination était « significativement plus élevé » que ceux survenus entre 11 et 180 jours chez les personnes âgées de 64 ans et moins.
décembre 17, 2023 13:27, Last Updated: décembre 17, 2023 13:27
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Selon une étude récente, environ 70% des personnes décédées au Japon après avoir été vaccinées avec le produit de Pfizer ont perdu la vie dans les 10 premiers jours suivant la vaccination.

L’étude japonaise, publiée dans la revue Cureus le 7 décembre, a examiné l’association entre la vaccination Pfizer Covid-19 et les décès survenus dans les 10 jours suivant la vaccination.

La période à risque a été définie comme étant dans les 10 jours suivant la vaccination, le jour de la vaccination étant le jour 1, et la période de contrôle a été définie comme étant de 11 à 180 jours après la vaccination.

L’analyse a été divisée en deux groupes : le groupe 1 représentant les personnes âgées de 65 ans et plus et le groupe 2 comprenant les personnes âgées de 64 ans et moins.

Le chercheur a recensé 1311 décès dans le groupe 1, dont 662 hommes et 649 femmes. Dans le groupe 2, l’équipe a recensé 247 décès – 155 hommes et 92 femmes.

« Le pourcentage de cas déclarés de décès dans les 10 jours suivant la vaccination était de 71% dans le groupe 1 et de 70% dans le groupe 2 », indiquent les résultats de l’étude.

Les plus de 65 ans

Dans le groupe 1, plus de femmes que d’hommes sont décédées de diverses pathologies au cours des 10 premiers jours suivant la vaccination. Après ces 10 jours, le nombre de décès signalés était plus élevé chez les hommes.

La plupart des décès post-vaccinaux sont survenus le deuxième jour, puis les troisième et quatrième jours.

En dehors des « décès inexpliqués », la principale cause de décès dans ce groupe était la cardiopathie ischémique (119 décès), suivie de l’insuffisance cardiaque (92), la troisième cause la plus courante étant la pneumonie d’aspiration/asphyxie (72). Une autopsie a été pratiquée dans huit des 239 cas de décès inexpliqués.

Groupe 2

Dans le groupe 2, plus de deux fois plus d’hommes que de femmes sont décédés de diverses pathologies au cours des 10 premiers jours suivant la vaccination. Le nombre total de décès après les 10 premiers jours n’était que légèrement plus élevé chez les hommes.

Le plus grand nombre de décès post-vaccination a été enregistré le troisième jour, suivi du quatrième, du deuxième et du cinquième jour.

Après les « décès inexpliqués », la principale cause de décès dans ce groupe était la cardiopathie ischémique (27 décès), les arythmies cardiaques (24), l’hémorragie sous-arachnoïdienne (20) et les myocardites/péricardites (17). Une autopsie a été pratiquée dans 9 des 51 décès inexpliqués.

La différence entre les hommes et les femmes en ce qui concerne les décès dus à la myocardite/péricardite au cours de la « période de risque » était considérable : huit hommes sont décédés, contre une seule femme. L’insuffisance cardiaque a entraîné la mort de neuf hommes contre deux femmes.

« Certains cas de myocardite/péricardite peuvent être inclus dans la catégorie des décès inexpliqués. La myocardite est une complication due à la vaccination, en particulier chez les jeunes adultes et les adolescents de sexe masculin », indique l’étude. L’un des facteurs contribuant au nombre supérieur de décès chez les hommes au cours des dix premiers jours est « le nombre élevé de décès dus à la myocardite ou à la péricardite, notamment les cas non diagnostiqués ».

Pour les deux groupes, les autres causes de décès étaient les suivantes : arythmie cardiaque, anévrisme/dissection aortique, hémorragie intracérébrale, hémorragie sous-arachnoïdienne, infarctus cérébral, insuffisance respiratoire, pneumopathie interstitielle, embolie pulmonaire, pneumonie, septicémie, anaphylaxie, thrombocytopénie et marasme.

En bref, beaucoup plus de femmes plus agées et d’hommes japonais âgés de moins de 64 ans ont été exposés à un risque accru de décès dans les 10 premiers jours suivant la vaccination par Pfizer.

Différences entre hommes et femmes, limites de l’étude

L’auteur, Yasusi Suzumura, a calculé les rapports de masculinité pour les décès toutes causes confondues et pour chaque résultat en divisant le nombre d’hommes par le nombre de femmes et en multipliant par 100. En d’autres termes, plus le rapport de masculinité est élevé, plus le nombre de décès masculins est important.

L’auteur a constaté des différences notables entre le nombre de décès d’hommes et de femmes dans les deux groupes, ce qui a un impact sur le taux de masculinité de l’étude.

« S’il n’y a pas d’effet sur la survenue des décès, il ne devrait pas y avoir de différence dans les rapports de masculinité en fonction de la période. Ce résultat indique donc que la vaccination peut influencer la survenue de décès au cours de la période à risque et peut être associée au décès », indique l’étude.

Les données sur le nombre de décès utilisées pour l’étude proviennent du ministère japonais de la Santé, du Travail et de la Protection sociale (MHLW).

Plus précisément, les cas impliquant uniquement la vaccination à ARNm BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) signalés entre le 17 février 2021 et le 12 mars 2023 ont été inclus.

L’étude n’établit pas de lien direct entre les décès et les vaccinations. « Les résultats indiquent que la vaccination à l’ARNm BNT162b2 peut influencer la survenue de décès pendant la période de risque », indique l’étude.

L’auteur a souligné certaines limites de l’étude, notamment le fait que le nombre de jours entre la vaccination et le décès peut varier en fonction du traitement, et que l’étude n’a pas pris en compte les effets de la vaccination après 11 jours.

En outre, il a indiqué que la déclaration en fonction du sexe n’a pu être effectuée que par quelques médecins et que les taux de mortalité n’ont pu être calculés car l’analyse n’a porté que sur les décès survenus après la vaccination.

L’étude portait sur un échantillon de taille limitée et doit donc être interprétée « avec prudence ». « Enfin, les résultats de l’analyse doivent être interprétés avec prudence car tous les décès signalés au MHLW n’étaient pas dus à la vaccination. Des décès fortuits ont pu être inclus dans les décès déclarés ».

M. Suzumura a souligné que, puisque les vaccins ont été administrés à des personnes pour la plupart en bonne santé, ils devraient présenter « un niveau de sécurité plus élevé que les produits pharmaceutiques utilisés pour le traitement et un taux de mortalité vaccinale exceptionnellement bas ».

Par conséquent, même lorsque le taux de mortalité lié à la vaccination est exceptionnellement bas, la sécurité des vaccins doit être analysée à l’aide de méthodes statistiques.

« Dans ce cas, il est difficile de déterminer si un décès survenu après la vaccination est accidentel ou imputable au vaccin », indique l’étude. Toutefois, l’auteur conclut que cette approche peut offrir des indications précieuses pour s’assurer de l’innocuité des vaccins.

Epoch Times a contacté Pfizer pour obtenir un commentaire.

Des données similaires au Japon et aux États-Unis

Commentant l’étude, le Dr Peter McCullough, cardiologue, a déclaré que les données sur « la vaccination contre le Covid-19 et les décès au Japon sont très similaires aux données des décès dus au vaccin dans les cas américains/domestiques du VAERS », selon un article publié le 9 décembre sur le site X. « Ces données corroborent fortement le lien de causalité pour les quelque 1150 décès immédiats observés ».

Le VAERS a signalé 18.188 décès consécutifs à la vaccination Covid-19 jusqu’au 29 septembre 2023, dont 1150 décès (ndt. soit 6%) survenus le jour même de la vaccination.

En outre, 2040 fausses couches, 9053 crises cardiaques, 17.433 handicaps permanents, 5057 cas de myocardite/péricardite et 36.184 réactions allergiques graves ont également été signalés.

L’Association des médecins et chirurgiens américains a également partagé l’étude japonaise sur X.

L’auteur de l’étude a précisé qu’il n’avait reçu « aucun soutien financier » d’une quelconque organisation pour le travail présenté.

De nombreuses autres études ont également établi un lien entre les vaccins Covid-19 et des taux de mortalité plus élevés. Un rapport publié le 17 septembre par Correlation Research in the Public Interest a révélé que dans les 17 pays analysés, la mortalité toutes causes confondues a augmenté lorsque les vaccins Covid-19 ont été distribués.

Neuf de ces 17 pays n’ont pas connu de surmortalité décelable après la déclaration de pandémie de l’OMS en mars 2020. La surmortalité n’a commencé qu’avec la campagne de vaccination.

Dans 15 des 17 pays, des pics sans précédent de mortalité toutes causes confondues ont été enregistrés en janvier et février 2022, ce qui coïncide avec la période du lancement des distributions de vaccins de rappel, ou immédiatement après.

L’étude a estimé à 1,74 million le nombre de décès excédentaires dans les 17 pays au cours de la période de vaccination (soit environ 1 pour 800 injections).

Entre-temps, le Japon a approuvé le premier vaccin à ARNm auto-amplifié au monde, contre le Covid-19, même si le fabricant n’a pas publié de données sur la sécurité ou l’efficacité de cette injection.

La dernière génération du vaccin à ARNm est encore plus puissante que la version existante, car elle génère plus de protéines spike dans le corps humain.

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