Sandrine Le Royer, une femme de 45 ans résidant à Alençon (Normandie), a profité du confinement pour se remettre au sport. Si elle n’a pas perdu son temps, elle a en revanche perdu 23 kg, par sa volonté sans faille. Son poids de départ était de 99,9 kg pour 1,80 m.
Le confinement : une expérience positive pour Sandrine
Alors que son appartement ne représentait qu’un lieu de repos pour Sandrine Le Royer, sachant qu’elle n’en prenait guère, lorsque le confinement s’est imposé à elle comme à tous les Français, elle a dû « occuper le vide », raconte-t-elle à L’Orne Hebdo. « Alors, j’ai décidé de m’occuper de moi », renchérit la quarantenaire.
C’est alors qu’elle a décidé de reprendre le sport, à raison d’une heure par jour pour démarrer. Elle s’est trouvé un vélo d’appartement et a également trouvé des cours de fitness par visio. « Assez vite, j’ai senti, dans mes vêtements, que mon corps changeait. Mais sur la balance, je ne bougeais pas », souligne-t-elle. Cependant, elle était motivée et ne voulait surtout pas atteindre les 100 kg, car « psychologiquement, ça aurait été difficile », avoue-t-elle.
Avec le confinement, elle a repris le sport à Alençon : dix mois plus tard, elle a perdu 23 kg https://t.co/D1YZwVHtU9
— Marsupi (@MarcBodinha) February 7, 2021
Une pratique variée
Sandrine s’est aussi essayée à l’aquabiking lors du déconfinement. Elle a également renoué avec la course à pied, qu’elle avait déjà pratiquée quelques années auparavant. Elle raconte, fière d’elle : « Pendant le confinement, je courais dix minutes, je marchais dix minutes, etc. Maintenant, j’enchaîne 50 minutes non-stop ! À l’allure d’une tortue, mais je ne m’arrête plus ! »
Après une entorse à la cheville, Sandrine a vraiment compris l’importance du sport dans sa vie. Elle explique : « Un soir, en rentrant du boulot, je me suis mise à ma séance de fitness mais c’est vrai que j’étais fatiguée… Et pendant l’échauffement, ma cheville a lâché ! » C’est à ce moment qu’elle a réalisé que le sport lui manquait vraiment, relate encore le journal hebdomadaire français.
Son alimentation quelque peu modifiée
Et lorsqu’on lui demande si elle a changé son alimentation, elle répond tout sourire : « Oui, je mange plus qu’avant ! » Alors qu’avant, elle « sautait beaucoup de repas » et « mangeait assez peu en réalité ».
Sandrine explique : « Je me suis aperçue qu’avec le sport, il fallait que je mange. Maintenant, je fais tous les repas et je me force à manger des protéines que je trouve dans des œufs ou le poisson. Donc, je ne me prive pas au niveau nourriture ! »
Elle cherchait avant tout un « bien-être »
Même si Sandrine souhaitait avant tout retrouver un bien-être et n’a pas cherché à perdre du poids à tout prix, elle a cependant réussi à perdre 23 kg après dix mois d’activité sportive, passant de la taille XL à Small. « Ce que je veux, c’est être bien, être zen », a-t-elle déclaré. Un ami lui avait d’ailleurs conseillé de prendre ses mensurations et de se photographier régulièrement. « C’est avec ces mesures que j’ai vu que je fondais », dit-elle.
« Je me sens mieux dans ma peau, je m’accepte. Je ne suis pas du genre à faire les choses à moitié mais maintenant, j’ai la volonté d’aller plus loin ! Je n’ai plus de pression. J’ai tout libéré avec le sport ! » ose-t-elle. Sandrine aimerait cependant « perdre encore du bas », mais elle reconnaît que « la cellulite, c’est difficile à éliminer. Surtout à plus de 40 ans ! »
Sandrine réalise avec bonheur les conséquences positives sur sa santé. Avant sa pratique de sport, elle souffrait de maux de dos ; désormais, c’est de l’histoire ancienne. « Je peux monter les quatre étages sans être essoufflée ! » se réjouit-elle encore.
Un effet boule de neige !
Heureuse de son parcours, ayant tiré profit pour elle-même de ce confinement, Sandrine a décidé de partager son expérience avec les autres, par le biais de son compte Facebook, souligne enfin L’Orne hebdo.
Elle a reçu beaucoup de soutien de la part des internautes, et son histoire a inspiré d’autres personnes. « Maintenant, je reçois des messages de certaines mamans qui me demandent des conseils et qui veulent en faire autant ! » conclut Sandrine.
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