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Après avoir entendu une histoire atroce d’une pouponnière d’orphelinat, une maman dort dans le berceau de son nouveau-né

septembre 6, 2018 16:50, Last Updated: avril 5, 2019 19:50
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Cette belle photo d’une mère et de son bébé a une histoire déchirante, et elle est devenue virale après avoir été mise en ligne. La mère a expliqué pourquoi son mari l’a trouvée endormie à côté de sa fille nouveau-née dans le berceau de la petite fille.

Lorsque la mère et photographe professionnelle du Michigan, Dayna Mager, 29 ans, a publié une photo d’elle-même et de son bébé, Luella, dans le berceau, l’image s’est rapidement répandue. Le mari de Dayna, Matt, était rentré de la messe du soir et les avait trouvées ensemble. Il a ensuite pris la photo.

Dayna a raconté une histoire déchirante qu’elle a entendue un jour d’un missionnaire alors qu’elle et son mari étaient à un concert à l’église. Le missionnaire a raconté qu’il a visité une fois une pouponnière d’orphelinat où il y avait plus de 100 bébés. Bien qu’il ait déjà visité des pouponnières de ce genre, ce qui l’a étonné dans celle-ci, c’est qu’elle était totalement silencieuse.

« Il s’est tourné vers son hôte et lui a demandé pourquoi la crèche était silencieuse », écrit Dayna. « Alors, sa réponse est quelque chose que je n’oublierai jamais. JAMAIS. C’était mon moment ‘pourquoi’. »

Selon le rapport de Dayna, l’employée de la pouponnière a répondu : « Après environ une semaine passée ici, à pleurer pendant d’innombrables heures, ils finissent par s’arrêter quand ils réalisent que personne ne vient pour eux… »

L’histoire du missionnaire a ébranlé Dayna jusqu’au plus profond d’elle même. Dayna réalise : « Ils arrêtent de pleurer quand ils réalisent que personne ne vient pour eux. Pas en 10 minutes, pas en 4 heures, et peut-être, peut-être, jamais…

« J’aurais littéralement pu ramasser des morceaux de mon cœur éparpillés sur le sol de l’auditorium. Mais au lieu de ça, ça a éveillé en moi un désir, une faim… Une promesse dans mon esprit.

« Nous sommes rentrés à la maison, et cette nuit-là, alors que Luella appuyait son petit corps de 5 kg contre le mien et que nous nous bercions, je lui ai fait une promesse. Une promesse que je viendrais toujours à elle…

« Toujours.

« Sa première souffrance, son premier chagrin d’amour, nous viendrons à elle. Nous serons là pour l’entendre, la faire sentir importante, l’aider à prendre des décisions par elle-même, nous serons toujours là.

« Nous lui montrerons à travers nos larmes et nos frustrations qu’il n’y a pas de mal à pleurer et à avoir des émotions.

« Que nous serons toujours un endroit sûr, et que nous viendrons toujours à elle. »

Version originale

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