De plus en plus de professionnels de la santé observent que plus on vaccine, plus l’épidémie s’enflamme. Le professeur Michaël Peyromaure a lui aussi fait ce constat et a expliqué le rôle des « anticorps facilitants » à la suite des injections contre le Covid.
Le professeur Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin (Paris), a indiqué sur CNews ce 16 janvier 2022, les observations faites à la suite des injections de vaccin contre le Covid.
Les « anticorps facilitants » prendraient le dessus
« Ce n’est pas moi qui le dis, comme vous le savez je ne suis pas expert en la matière, mais il y a ce fameux débat sur les anticorps facilitants », a-t-il commencé, poursuivant : « Vous savez que certains épidémiologiques et certains infectiologues ont mis en évidence qu’après une vaccination il y avait un équilibre qui devait se faire entre les anticorps facilitants et les anticorps neutralisants. » Il a continué son analyse en déclarant : « Il semblerait qu’après un certain nombre de doses, eh bien les anticorps facilitant l’infection puissent prendre le dessus, en tout cas dans certaines populations, et donc générer des infections. »
Il a de nouveau rappelé que même si ce n’est pas sa spécialité, « il y a des études qui ont tendance à suggérer cette notion, notamment au Danemark et en Allemagne ».
Le 21 décembre dernier, le professeur Peyromaure avait soulevé sur Europe 1 que pour sortir le système hospitalier français de la crise dans laquelle il est embourbé depuis de nombreuses années – et qui n’a fait que s’accentuer avec la pandémie de coronavirus – il fallait mettre davantage à contribution économique les patients.
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