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Sérum de Quinron : L’eau aux mille vertus

Écrit par Sanner La Grande Epoque
02.01.2000
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  • rivage mer(攝影: / 大紀元)

Depuis plus d'un siècle, on présume que la vie est apparue dans un milieu liquide, il y a quatre milliards d'années. Une eau sans doute, salée, soufrée, brûlante. Puis des terres ont émergé, de l'eau douce s'y est déposée, des écosystèmes très divers se sont créés. Mais au tout début, quel était précisément le milieu de nos origines ? Le physiologiste René Quinton, brillant esprit du début du siècle, a avancé des théories qui ont gardé toute leur valeur, tant au plan de l'Evolution qu'au plan thérapeutique.

René Quinton né en 1866  était un scientifique autodidacte et visionnaire. Son père le poussa à faire des études scientifiques mais il était plutôt attiré par toutes les sciences humaines, les arts, la littérature. En ces années de « Belle Epoque », René Quinton penche pour une activité littéraire.

Pendant plusieurs années, il écrit de nombreux textes, pièces ou romans, dont aucun n'est édité. Quinton se cherche. Il n'a pas encore trouvé l'exutoire à la somme des connaissances qu'il a accumulées. Et puis, comme bien souvent, un évènement totalement imprévu, un fait du hasard, comme la pomme de Newton ou la marmite de Papin, fera basculer Quinton dans une aventure scientifique passionnante.

Une fabuleuse découverte

A la vue d'une vipère engourdie par le froid hivernal retrouvant sa dangereuse vitalité devant le feu de cheminée, ce biologiste a une intuition géniale concernant le développement de la vie sur terre.

Schématiquement elle naît de la confrontation de deux processus opposés :

•    D'une part, l'entropie croissante du globe terrestre, apparu comme une boule de feu, qui se refroidit de plus en plus, donnant naissance aux gaz, aux océans et aux terres, et s'acheminant vers une extinction totale.

•    D'autre part, l'apparition puis l'évolution de formes de vie de plus en plus élaborée face à cette dégradation progressive du milieu ambiant.

Les premières formes de vie apparaissent dans les océans primitifs encore chauds : des êtres unicellulaires très simples, totalement dépendant du milieu extérieur.

Puis, selon Quinton, pour contrer la dégradation progressive de ce milieu (ex : refroidissement des océans), de nouvelles formes de plus en plus complexes vont leur succéder, avec de nouvelles capacités :o    indépendance croissante vis-à-vis du milieu extérieur,

o    développement d'un milieu intérieur pour la vie des cellules,

o    capacité de générer leur propre chaleur,

o    voire leur propre lumière 

La théorie de Quinton

«La vie, dit-il, n'a pas créé la vipère pour qu'elle soit léthargique et engourdie : si elle est ainsi aujourd'hui, c'est qu'elle est apparue à une époque où la terre était plus chaude, permettant à sa vitalité de s'exprimer de façon optimale». La vie a donc créé des animaux à sang chaud lorsque la terre s'est encore refroidie, et ainsi de suite.

Là où Darwin ne voit que hasard et sélection naturelle, Quinton voit une finalité dans l'évolution des espèces : le maintien d'une manifestation optimale de la vie Mais surtout, si la vie est apparue dans les océans primitifs et que l'hypothèse de Quinton est juste, le milieu intérieur dans lequel vivent les cellules des différentes espèces, dont l'homme, doit encore aujourd'hui être un milieu marin. Et c'est le cas ! Elaborée en plasma marin et ramené à l'isotonie de chaque espèce, l'eau de mer peut donc servir de support à la vie cellulaire.

Quinton le prouve de façon spectaculaire en faisant une expérience sur un chien inconscient et qui allait mourir dans les minutes suivantes à moins d’une intervention urgente. L’état du chien était à ce point précaire qu’aucune intervention toxique n’aurait été tolérée de sa part. Il injecta le plasma qui n’occasionna aucune agression supplémentaire. Au contraire, il provoqua une reconstitution rapide du tissu sanguin. Après l’injection, le chien fut à nouveau sur ses pattes. Quinze jours plus tard, les résultats des prises sanguines démontrèrent que le sang était normal et plus riche qu’avant l’expérience.

L’homme : un aquarium vivant

Le corps humain est constitué à 90 % d'eau comme la lymphe, le plasma sanguin et le liquide interstitiel qui possèdent la même composition et la même structure minérale vivante que l'eau de mer.

Comme dans celle-ci, on y trouve les sels minéraux et les oligo-éléments, organisés et structurés de façon dynamique et synergique. Chacun de nous possède sa propre eau de mer intérieure dans laquelle vivent, se nourrissent et se reproduisent les cellules. Cette mer  qu’on appelle le milieu  intérieur est le fondement sur lequel se construit l'activité de l'organisme. Toutes les fonctions transitent et se fondent sur le milieu intérieur. Il a un rôle fondamental, puisque la qualité du fonctionnement cellulaire dépend de son intégrité.

Réciproquement, sa composition, sa structure et son équilibre dépendent totalement de l'activité cellulaire. Au plan physiologique, le milieu intérieur correspond à une notion de la médecine parallèle le terrain.

Le terme de terrain est judicieusement emprunté à l'agriculture: on sait que le sol n’est pas le support inerte de la matière végétale qui y croît, mais que sa composition minérale, sa vie microbienne, sa structure et son pH,  influencent considérablement la santé des cultures qui s'y développent. De manière analogue, on reconnaît aujourd'hui que le terrain d'un individu le prédispose à tel développement physiologique et le sensibilise à certains types de pathologies. Pour maintenir sa santé il faut préserver l'équilibre du milieu intérieur, c'est-à-dire du « terrain ».

Les cellules doivent bénéficier d'un environnement sain et équilibré, c'est-à-dire d'un milieu intérieur non dénaturé par les pollutions résultant d'une mauvaise hygiène de vie. Quant une personne vit mal, mange et boit n'importe quoi ou agresse son organisme avec des produits non naturels et toxiques, elle pollue son environnement intérieur. Une fois l'équilibre intérieur rompu, les défenses naturelles n'assurent plus sa protection ; les microbes peuvent alors se développer et les maladies apparaître.

 Le plasma marin : eau de vie

L'eau de mer est un milieu de vie extraordinairement riche et complexe. Elle présente de nombreuses particularités dont certaines sont encore inexpliquées. La richesse et la diversité des sels minéraux et des oligo-éléments présents dans l'eau de mer sont exceptionnelles.

Quinton, entouré d'une équipe médicale a développé durant plus de 25 ans ce qui fut appelé la Méthode marine à l'aide notamment du Plasma de Quinton,  en solution isotonique injectable. Il part du principe qu'en régénérant le milieu intérieur appauvri, duquel se nourrissent les cellules, au moyen de préparations d'eau de mer purifiée, de composition équilibrée et complète, le malade reconstruit globalement son terrain. Les cellules peuvent à nouveau y puiser les éléments qui leur sont nécessaires.

 Le plasma marin ne combat pas directement les maladies ; il agit sur le terrain déséquilibré qui a permis leur apparition. Il permet ainsi à l'organisme de combler ses carences, de retrouver son équilibre et de faire face par lui-même aux agressions. Il aurait aussi une action très importante au niveau préventif en diminuant les risques de maladies. D'après ses concepteurs, il rééquilibre à long terme, plutôt que d'agir de façon symptomatique en négligeant la cause profonde de la maladie, et ne présente aucune toxicité pour notre organisme.

Le plasma marin est une eau de mer soigneusement élaborée et préservée sans pour autant porter atteinte à sa structure complexe et fragile dont découlent ses propriétés thérapeutiques supposées. En effet, laissée à l'air libre, elle s'oxyde ; stérilisée à haute température, ses oligo-éléments précipitent et elle perd ses principales propriétés vitales. L'eau de mer est un milieu vivant qui n'a rien à voir avec un simple mélange d'eau et de sel. Il a donc fallu mettre au point une méthode spécifique de conditionnement assurant la non-altération de ses qualités intrinsèques.

Par ailleurs, l’eau de mer ne peut être prélevée n’importe où. La composition de cette eau varie selon la distance par rapport à la côte, selon le climat et selon la végétation marine. L’eau de mer qui sert actuellement à la fabrication du plasma est donc puisée dans l’océan à 10 mètres du fond et à 30 mètres de la surface avec des précautions spéciales, en des lieux et à des moments où la pureté de l’eau est parfaite. Elle est prélevée dans des lieux uniquement connus des Laboratoires Quinton. Le transport s’effectue ensuite en véhicule isotherme en moins de 48 heures jusqu’au laboratoire de conditionnement. La mise en ampoules est faite au cours des 24 heures suivantes en conditions de stérilité absolue, sans contact métallique, sans élévation de température, selon le protocole original du biologiste.

Le plasma marin conserve ainsi en tout temps son équilibre moléculaire, son caractère de milieu vivant ainsi que la totalité de ses oligo-éléments et de ses micro-nutriments cellulaires bio disponibles.

Quinton affirme que cette solution est une aide dans le traitement de nombreuses maladies telles que : Les problèmes digestifs, la déminéralisation, les allergies, les troubles psychiques, les affections cutanées de tout ordre, les asthénies neurovégétatives, les anorexies, les diarrhées infantiles, les déshydratations profondes, les gastro-entérites, la tuberculose, le choléra, le typhus et pour bien d’autres pathologies. 

Un anti-médicament

«Le plasma marin n'est pas un sérum contre telle ou telle affection, mais aide la cellule vivante», écrivait le Dr Jarricot. En effet, le caractère unique du plasma marin est qu'il reconstruit nos défenses naturelles en renforçant les bases de notre terrain, quelles que soient les maladies dont nous sommes affligés.

 

Plus de 204 720 362 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.