Les études supérieures, une voie pour trouver sa passion

Écrit par L'édition Nouvelles
01.12.2010

  • famille(攝影: George Doyle / 大紀元)

Si vous demandez à Jennifer Otley ce qu'elle fait dans la vie, elle vous dira fièrement qu'elle est diététiste. À 27 ans, elle a trouvé exactement la profession qui lui convient, une profession qui, au départ, ne faisait pas partie de son plan de carrière.

Comme beaucoup de jeunes, Jennifer a tout de suite fréquenté l'université après ses études secondaires. Après quatre ans, elle a obtenu un baccalauréat en sciences et un baccalauréat en éducation physique et santé. C'est au cours de ces quatre années à l'université qu'elle a découvert ce qui allait devenir sa passion.

«J'ai suivi différents cours. J'ai aimé mon programme d'études justement pour cette raison; il m'a permis de toucher à des domaines divers», raconte Jennifer. «J'aimais beaucoup mes cours de nutrition. Je lisais même mes manuels scolaires uniquement pour le plaisir

Pour faire un choix de carrière éclairé, les futurs étudiants peuvent s'informer sur les différents programmes d'études. Le site Cibletudes.ca propose des outils à cette fin et fournit des renseignements sur les emplois, les salaires, les établissements d'enseignement et les bourses d'études.

Peu de temps après avoir obtenu son diplôme, Jennifer a choisi de devenir diététiste. Pour ce faire, elle devait suivre un programme universitaire de trois ans à Toronto.

Selon un rapport publié en 2009 par le Conseil canadien sur l'apprentissage, tout juste un peu plus de la moitié des étudiants qui font des études collégiales ou universitaires suivent le parcours scolaire traditionnel; ils obtiennent ensuite un diplôme dans le programme et l'établissement d'enseignement où ils ont commencé leurs études. Les autres empruntent une voie moins directe; certains fréquentent plus d'un établissement d'enseignement ou changent de programme ou de domaine d'études.

Jennifer a récemment terminé un stage d'un an en nutrition. Après trois mois de recherche d'emploi, elle travaille maintenant à des projets de sensibilisation au diabète. «Même si je suis endettée, je n'ai aucun regret», dit-elle en riant. Et elle a bien raison. Selon un rapport sur le marché du travail de Ressources humaines et Développement des compétences Canada, deux emplois sur trois, sur le marché du travail d'aujourd'hui, nécessitent des études postsecondaires.

Pour Jennifer, le détour en a valu la peine. «L'université vous ouvre beaucoup de portes et vous donne le temps de découvrir ce que vous voulez réellement faire», affirme-t-elle. «Je suis contente d'avoir persévéré en vue de faire ce que je souhaitais vraiment

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