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Tenir ses promesses constitue l'intégrité d'un être humain, histoires de la Chine antique

Écrit par Qingyan
01.02.2010
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  • autel chine(攝影: Jupiterimages, Jupiterimages / (c) Jupiterimages)

Si une personne fait une promesse, elle doit se tenir au principe de «Vérité» et remplir sa promesse quoi qu’il arrive. C’est la fondation d'une conduite vertueuse. Lorsque je lis des histoires à propos d'anciens qui tenaient leur parole, même au prix de leur vie, je les admire beaucoup. Voici trois histoires anciennes sur le sujet.

Sous la dynastie Qing, il y avait un homme nommé Zhao Zhongmu à Wujin. Il était reconnu pour sculpter les sceaux. En juillet 1889, Yu Xiaofu demanda à Zhao Zhongmu de sculpter pour lui 40 sceaux, et Zhao promit de terminer à la mi-octobre. En septembre, Zhao Zhongmu tomba malade et s’inquiétait de manquer l’échéance. Donc, il commença à sculpter les sceaux bien qu’il dut travailler sans arrêt. Il travailla pendant trois jours et trois nuits. Il était extrêmement fatigué, mais il tint sa promesse et il remit les 40 sceaux à Yu Xiaofu comme prévu.

Autrefois, Yu Xiaofu était un officier de Xixing, province de Zhejiang. Il était poli et respectueux. Il était un officier intègre qui ne prenait jamais l'argent qui ne lui appartenait pas. Après sa retraite, sa famille devint très pauvre. Une fois, il emprunta de l’argent à son très bon ami Tan Futang lui promettant de le rembourser à la fin de l'année suivante. Quand l’échéance approcha, Yu Xiaofu tomba gravement malade. Pour pouvoir rembourser sa dette Yu interrompit son traitement, vendit tout les objets de valeur qu'il avait chez lui, dont des livres et des instruments de musique. Finalement, il put payer sa dette avant de mourir.

Zhou Yuze, de Qiantang, faisait des affaires entre les États de Wu et de Yue. Sa famille était très riche et, en 1711, il fut volé. Tous les objets que d'autres commerçants avaient laissés chez lui furent dérobés. Après cet incident, Zhou Yuze vendit tout ce qu’il pouvait pour rembourser ses clients. Il dit : «Même s'il ne me reste rien, mes clients ne doivent subir aucune perte!» Ses clients l'admiraient comme quelqu'un qui tenait bien ses engagements et continuèrent à faire des affaires avec lui.

 

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