La géobiologie étudie les diverses ondes électromagnétiques qui jalonnent la terre et qui, selon cet art ancestral, influencent notre environnement et agit sur notre comportement et notre santé. Les personnes plutôt sensibles peuvent se sentir fortement perturbées par ces champs et d’autres considèrent tout cela comme de la superstition. Comme tout domaine touchant au non palpable, il a ses détracteurs, ses adeptes, ses praticiens compétents et ses charlatans. C’est un domaine à explorer si vous ressentez que le lieu où vous vivez est saturé, mais tout en restant vigilant.

Pour les géobiologues, il y a dans la terre, différents courants telluriques qui interfèrent sur le vivant. Ce sont principalement les failles sèches, les veines d’eau souterraines et les réseaux Hartmann et Curry, qui sont composés de trames positionnées comme les mailles d’un filet. Ils émettent de l’énergie calculée en hertz sur toute la hauteur du bâtiment. La géobiologie solaire tient compte du réseau solaire qui est un réseau cosmique pur. Ces ondes entrent en résonance avec notre corps et influencent nos habitations.

Les réseaux telluriques émettent un système fréquentiel en provenance du sol.

L’habitant peut aussi générer des perturbations dans sa propre habitation par son système de pensées.

En effet, nos actions, nos pensées ont aussi un impact sur notre environnement. En pensant, nous émettons des ondes qui sont captées par le vivant, les murs, le sol ou les objets qui nous entourent.

Il n’y a pas de séparation entre l’habitat et l’habitant.

Par ailleurs les micro-ondes des fours, des téléphones portables, de la wifi, sont aussi des objets de préoccupation des géobiologues.

Madame Morice explique les différents phénomènes que l’on peut rencontrer. « Les failles sèches peuvent apporter l’énergie de la séparation, du feu, et avoir une incidence sur le foie et la vésicule biliaire. Les anciens bâtissaient les murs porteurs sur les failles afin de les neutraliser. L’eau peut amener l’indécision, les peurs (cauchemars), elle influence la vessie et les reins. Le réseau Harmann capte la pollution électromagnétique, lorsque le corps humain se trouve sur un croisement il peut être fatigué, dévitalisé. Le réseau Curry capte tout ce qui s’est passé sur le lieu. »

Elle raconte : «  un réseau Curry saturé véhicule des mémoires qui ne correspondent pas aux personnes vivants sur le lieu. Ce sont principalement des énergies de souffrance liées au passé. Cette énergie circule le long du réseau et peut transmettre cette information sur une longue distance. La personne qui passe régulièrement à l’aplomb de ce réseau capte cette information subtile ».

Le travail des géobiologues est d’harmoniser le lieu pour qu’il soit paisible à vivre. Ils utilisent des outils radiesthésiques comme le pendule, la baguette du sourcier ou une antenne de Lecher pour faire leur diagnostique. Bien évidemment, il serait préférable de tenir compte de ces données en aval de la construction de la maison. Elle serait alors bâtie en dehors des points géopathogènes ou du moins, ces points pourraient être neutralisés, comme le faisaient les anciens, par le positionnement et l’orientation du bâtiment. C’est à ce jour une minorité des études géobiologiques.

Le géobiologue propose donc très souvent des solutions en amont, selon l’école dont il fait partie. S’il y a un nœud pathogène sous le lit par exemple, certains vous conseilleront, si possible, de déplacer le lit. Le plus important est de ne pas résider sur ces points et si possible, d’éviter leur contact, ce qui dans l’absolu est quasi impossible. Il arrive que l’espace soit si réduit, que l’ameublement ne puisse pas être modifié.

D’autres vous proposent de pousser la perturbation en dehors de la maison, par l’utilisation de fils de cuivre. On peut se demander où part la perturbation. Chaque géobiologue a ses solutions, plus ou moins efficaces et pour faire la différence, le bouche à oreille est la meilleure référence. D’autres vont placer des objets sensés modifier les informations reçues en apportant de nouvelles informations par la modification du système fréquentiel.

Madame Morice fait partie des géobiologues qui informent les réseaux, sans déplacer l’agencement intérieur. La faiblesse d’un terrain devient sa force, le réseau saturé permet de conduire le nouveau système fréquentiel. Elle utilise le « Concept GLS » (GéoLumière Synchronic) réalisé en céramique informée avec des terres rares, des essences pures, des pierres et des métaux précieux. Ce capteur d'ondes cosmiques nourrit en permanence l'habitat, qui petit à petit s'ouvre et s'apaise.

Le Professeur Konstantin Korotkov de l’université de Saint Petersburg est docteur en électronique physique et en ingénierie médicale. Son équipe a mis au point un appareil, le système GDV, qui permet de transcrire les informations bioélectriques en quantifiant le niveau énergétique. Le créateur du « Concept GLS», affirme que celui-ci a été testé positivement.

L’Amsat®, conçue par la recherche médicale spatiale russe, est un système informatique qui diagnostique l'état fonctionnel de l'organisme humain. Toujours d’après le créateur du « Concept GLS», il s’est avéré que les tests pratiqués sur ce modèle démontrent tous une amélioration des enveloppes des corps gazeux des personnes testées, tous les tests sont accessibles sur le site.

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