L’homéopathie, pour le sport et les blessures liées aux activités physiques

Écrit par Docteur Ronald D. Whitmont
31.05.2010
  • course de velo(攝影: / 大紀元)

Le printemps est là ! Lorsque le temps est clément, bon nombre d'entre nous irons faire du sport à l'air libre sous un soleil radieux. Avec ce nouveau passe-temps, le risque d’accident augmente. En tenant compte des lésions dues à un excès de sport, se pose la question de la responsabilité d'entretenir le corps sans lui causer davantage de mal.

« D'abord, ne vous faites aucun mal. »

.Il y a une tendance inquiétante  dans le domaine du sport et la médecine du sport aujourd'hui. Cette tendance inclut l'utilisation d'une classe de médicaments qui non seulement compliquent le rétablissement physique, mais aussi augmentent le risque de développer des blessures liées au sport.

Les athlètes emploient des médicaments soi-disant inoffensifs à une fréquence toujours plus grande. Ces médicaments sont même recommandés par des médecins et des physiothérapeutes pour aider le processus de rétablissement, bien qu'ils aient démontré avoir l'effet opposé.

Beaucoup d'athlètes choisissent d'employer un groupe de médicaments appelées anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou AINS, pour augmenter les performances, éviter la douleur et traiter les dommages existants. Ce groupe de médicaments inclut l'ibuprofène (Motrin, Aleve), l'acetaminophen (Tylenol), et l'acide salicylique (aspirine). Ils sont loin d’être bénins.

À première vue, ces médicaments semblent inoffensifs, puisqu'ils aident à combattre l'inflammation et à supprimer la douleur, mais ils sont les causes principales de l’insuffisance rénale aux Etats-Unis aujourd'hui. Ils provoquent des saignements gastro-intestinaux chez tous les utilisateurs. Ils causent la gastrite et l'ulcère peptique chez beaucoup d'utilisateurs à long terme, perturbent le système immunitaire, ralentissent le processus curatif,  favorisent les lésions chroniques, et diminuent la perception des signaux importants de la douleur. De même, ils augmentent le risque : de nouvelles lésions, d'aggraver des lésions existantes.

Pour finir ils contredisent directement la maxime : « Écoutez votre corps. »

Les athlètes employant des AINS avant, pendant et après un accroissement de l’activité physique risquent toutes ces complications. Même en l'absence d’exercices physiques vigoureux, ces agents sont connus pour endommager le corps. Mais pendant l'activité physique soutenue, le corps court plus de risque de subir les dommages de ces agents.

Pendant l'exercice le corps éprouve typiquement une déshydratation de léger à modérer et une hémoconcentration. Cette réduction de volume augmente la concentration de tous les médicaments dans le corps. En conséquence, les reins, l'estomac, le foie, les intestins, et les muscles contiennent des taux de ces médicaments plus élevés que la normale.

À mesure que la concentration augmente, le risque de dommages augmente également. Les effets toxiques de ces substances sont magnifiés pendant l'exercice, ayant pour résultat un plus grand risque de développer un ou plusieurs effets secondaires.

Non seulement les effets toxiques des médicaments sont augmentés pendant l'exercice, mais également l'analgésique et les effets d'immunisé-suppression  qui sont magnifiés. En conséquence, des petites lésions et des traumatismes microscopiques des tissus passent inaperçus. L'effet cumulatif de ces blessures peut mener à une perte de conscience du corps et à l'aggravation des  blessures existantes.

La douleur est non seulement un message important du corps qui indique nos limites physiologiques à l'activité, mais c'est également une composante clé dans le mécanisme curatif. Ces médicaments interfèrent directement la réponse inflammatoire, qui fait partie du mécanisme curatif du corps.

Dr. Whitmont est un médecin homéopathique classique. Il exerce à  Rhinebeck à N.Y., et à New York City. Son site Web est Homeopathicmd.com

Les AINS ne devrait jamais être utilisés de manière habituelle par les athlètes, pour empêcher des lésions, augmenter la performance ou pour traiter des blessures existantes. Un outil bien plus sûr et plus efficace qui gère les blessures dues au sport est l’homéopathie.

La semaine prochaine 2ème Partie : Traitement homéopathique

Dr. Whitmont est un médecin d’homéopathie classique. Il exerce son art à Rhinebeck, N.Y., dans la ville de New York. Son site web : Homeopathicmd.com 

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