Écrit par La Grande Époque

Dorota Rakowska, dentiste, a vu la troisième et dernière représentation au Grand Théâtre, le 16 juin, accompagnée de sa fillette de dix ans et de leur voisine Anna Nowacka, Conférencière en Science informatique à l'Université technique de Lodz.

Dorota Rakowska a commenté: «C'est un spectacle complètement différent de tous ceux qui ont été présentés jusque-là».

Elle a compris la signification culturelle du spectacle, observant: «C'est la culture chinoise qu'on ne peut pas vraiment voir en Chine, que peut-être seuls des groupes qui vivent aux États-Unis ou dans un pays libre peuvent présenter».

Toutes les trois ont aimé les scènes contemporaines et ont été particulièrement impressionnées par les danses folkloriques des steppes de la Mongolie, des rizières Miao, des plateaux tibétains et par les percussionnistes du nord-ouest de la Chine.

Dorota Rakowska a dit que sa fille avait été touchée par la scène dans laquelle la petite fille perd sa mère. Dans la danse Rien ne peut entraver le chemin sacré: «la mère et la fille qui font les exercices de Falun Dafa, dans un parc, sont agressées par la police qui donne l'ordre de les arrêter et de briser la volonté de quiconque pratique cette paisible discipline spirituelle».

Voir la police communiste ou la «milice» a rappelé à Dorota Rakowska que la population de son pays, la Pologne, n'a été libérée que récemment de l'oppression du communisme.

Pour conclure, Dorota Rakowska a décrit Shen Yun comme: «coloré, léger et puissamment enchanteur».

Anna Nowacka a elle aussi beaucoup apprécié le spectacle. Elle a été  particulièrement frappée par les couleurs. Elle a dit: «Leur précision, leur niveau de préparation pour les danses, c'était à un très haut niveau, comme leur implication dans ce qu'ils faisaient».

D'après un reportage de Marcin Klebba et de Jing.

Pour en savoir plus: ShenYunPerformingArts.org