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La vie est comme un rêve

Écrit par Qing Yan
24.06.2010
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  • main(攝影: Ciaran Griffin / 大紀元)

Qian Yang, de la ville de Wuxi, province de Jiangsu, était un érudit de renom sous la dynastie Qing. Il avait une grande connaissance des classiques et des anciennes tablettes de pierre, il gagnait sa vie en gravant notes et écrits sur la pierre.

Un jour, il fit un rêve. Il était dans un manoir, ses serviteurs, sa femme et ses concubines venaient l’accueillir pour lui dire : «Deux de tes fils sont montés à la capitale pour passer un examen et nous venons d’avoir trois petits-enfants de plus. Toute notre famille est extrêmement heureuse!» Il se mit à marcher dans sa vaste demeure et entra dans une pièce où il y avait des pièces d’or empilées en tas comme une montagne. Un vieux serviteur entra en courant lui disant : «Vos deux fils ont tous deux réussi leur examen.» Il se réveilla alors, continuant à jouir de son rêve.

Quelques jours plus tard, il fit un autre rêve. Dans ce rêve, il était en train d’admirer des trésors, des peintures et des livres en compagnie d’un noble. Il y avait deux canards mallard en jade d’une valeur inestimable qu'il ne put s’empêcher de prendre dans ses mains pour les voir de plus près. Tout à coup, les canards sont tombés et se sont cassés en morceaux. Le propriétaire était très en colère. Qian s’agenouilla devant lui et le supplia de lui pardonner. Il promit de donner une compensation pour cette perte. Il vendit tout ce qu’il possédait, mais c’était encore insuffisant. Quand il alla voir ses vieux amis pour leur emprunter de l’argent, aucun d’entre eux n’était disposé à le faire. Qian était dans la pauvreté et la misère. Toute sa famille mourrait de faim, sa femme avait l’air d’une miséreuse.

Après son réveil, il réalisa qu’il avait connu dans ses deux rêves la richesse et la pauvreté, le gain et la perte. Il écrivit un poème pour exprimer son sentiment : «La vie est comme un rêve jusqu’à ce que la mort vous réveille. Pourquoi donc se faire du souci concernant la perte et le gain? Vous aurez à souffrir jusqu’à ce que vous soyez sans forme

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