Shen Yun connecte le public à d'anciennes vérités

Écrit par La Grande Époque
31.01.2011

  • Monsieur Steven Bueker, un administrateur de systèmes informatique pour First Data Corp., et son épouse, Toni Bueker, qui est une artiste. (Pamela Tsai/La Grande Époque) (攝影: / 大紀元)

WASHINGTON – La représentation en matinée de Shen Yun Performing Arts New York Company au Kennedy Center Opera House a été applaudie par une foule enthousiaste avec de nombreux rappels de rideaux.

Dans la salle se trouvait Monsieur Steven Bueker, un administrateur de systèmes informatiques pour First Data Corp., et son épouse, Toni Bueker, qui est une artiste.

«J'ai trouvé que c'était très éthéré. Les couleurs sont prodigieuses, et tout est vraiment incroyable. Les couleurs, la soie, les costumes et les décors – ils étaient si fluides et magiques. C'était vraiment extraordinaire», a dit Madame. Bueker à une réception VIP après le spectacle.

«C'est la plus extraordinaire combinaison d'opéra et [de danse classique chinoise], mêlés dans un évènement culturel qui vous montre à quel point les choses chinoises sont merveilleuses», a dit Monsieur Bueker.

«Tout était si éclatant et beau et tous [les artistes] si gracieux et si excellents dans tout ce qu'ils faisaient – de la musique, la danse, je veux dire, c'était vraiment très bien fait», a poursuivi Monsieur Bueker.

Monsieur Bueker a dit qu'il avait des amis chinois, mais ils parlaient surtout d'économie et de business. Il était surpris de n'avoir jamais rien appris d'eux à propos de la culture chinoise, de la spiritualité, ou même de la répression actuelle de la religion en Chine.

Shen Yun est basé à New York c’est la première compagnie de danse classique et de musique chinoises. Le spectacle à but non lucratif de la compagnie a pour mission de restaurer et de faire revivre le riche héritage culturel de la Chine après sa destruction sous le Parti communiste, en particulier durant la Révolution culturelle.

«Beaucoup de choses, des chansons qu'ils chantaient, sont des éléments qui ont toujours eu, en quelque sorte, un écho en moi à propos de la vérité, de la différence entre le bien et le mal..., de ne pas croire aux mensonges qu'on vous dit en vous soumettant», a dit Monsieur Bueker.

«J'ai vraiment aimé la spiritualité, parce que j'ai trouvé qu'il était étonnant qu'ils disent que chacun vient en fait du ciel, et que c'est là qu'ils retourneront», a dit Madame Bueker.

«J'ai beaucoup lu à ce sujet dernièrement – à propos de gens qui meurent et vont dans un autre endroit, puis reviennent. Et cela m'a donc fait penser à certains de ces livres. Comment nous appartenons tous à un endroit plus grand», a poursuivi Madame Bueker.

«C'est vraiment, vraiment transcendant. J'aime comment les protagonistes allaient dans les grands cieux puis revenaient. Et les accessoires intégrés à la scène étaient si touchants – c'était extraordinaire», a-t-elle ajouté. «J'ai aimé comment ils quittaient la scène et réapparaissaient dans la toile de fond».

Les Bueker faisaient allusion à la toile de fond animée, innovante, de Shen Yun. Une de ses illustrations montre des être divins descendant, ou retournant au ciel.

Pendant la danse Aucun regret, dans le contexte de la Chine moderne, un jeune homme qui pratique Falun Dafa est persécuté à mort par la police chinoise devant sa mère.

Falun Dafa, une ancienne pratique enracinée dans la culture chinoise traditionnelle, a été interdite en Chine depuis 1999. Des milliers de ses adhérents ont été torturés à mort, et des centaines de milliers ont été arbitrairement détenus et torturés ces dix dernières années et plus.

Monsieur Bueker a expliqué qu'au moment où le pratiquant de Falun Dafa était emmené au ciel par des êtres divins, il avait ressenti une illumination. Cela lui a aussi rappelé sa propre mère, qui est décédée récemment. Bien qu'il ne l'ait plus revue, il sentait qu'elle aussi était allée au ciel.

Monsieur Bueker a dit qu'il s'est toujours senti attiré par les gens d'autres cultures parce qu'il sent en quelque sorte qu'il appartient à toutes ces cultures. «Tout ce que je peux apprendre de n'importe laquelle de ces cultures, revient à apprendre de bien des façons mon propre héritage», a dit Monsieur Bueker.

Reportage Pamela Tsai et Andrea Hayley

Pour en savoir plus: ShenYunPerformingArts.org