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Une exposition de reliques bouddhistes à Jérusalem

Écrit par NTD
19.01.2012
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  • Une exposition unique en son genre présente des reliques très rares considérées comme sacrées par des millions de bouddhistes à travers le monde. Ces minuscules pierres rondes auraient été découvertes dans les cendres de maîtres spirituels bouddhistes après leur crémation. On leur a donné le nom de Perles de Compassion. (NTD)(攝影: / 大紀元)

Le week-end du 14 janvier 2012, la vieille ville de Jérusalem, Centre spirituel du judaïsme, de la chrétienté et de l’islam, a ouvert ses portes à une autre religion venue d’Orient: le bouddhisme. Une exposition unique en son genre présente des reliques très rares considérées comme sacrées par des millions de bouddhistes à travers le monde. Ces minuscules pierres rondes auraient été découvertes dans les cendres de maîtres spirituels bouddhistes après leur crémation. On leur a donné le nom de Perles de Compassion.

Andrea Bridger, Directrice adjointe de l’Exposition des reliques de l’Autel du Cœur, a dit: «On dit qu’elles sont très rares, elles ressemblent à des perles ou à des cristaux très petits. Dans la tradition orientale, lorsqu’un maître comme le Bouddha, le Lama Tsongkhapa ou Shariputra, meurt, son corps est incinéré et les étudiants regardent dans les cendres pour voir si leur maître spirituel a laissé des signes de son élévation spirituelle».

Andrea Bridger précise qu'aucune analyse en laboratoire n'a encore été effectuée par peur d’endommager les reliques. Mais elle donne une explication scientifique.

Andrea Bridger a commenté: «Les scientifiques expliquent que lorsqu'on prend du carbone ou du graphite, qu'on le compresse par la chaleur et l’énergie, des diamants se forment. Pour eux, c'est une explication possible de cette manifestation».

Les reliques, dont certaines pourraient dater de milliers d’années, ont été exposées dans 65 pays ces dix dernières années.

 

Les reliques sont exposées avec beaucoup de révérence et de respect. Les transférer dans leur compartiment de verre constitue une cérémonie en soi. Les femmes les portent sur le dessus de leur tête.

Andrea Bridger a précisé: «Il paraît que cette région, le sommet de la tête, est la zone par laquelle nous sommes le plus capable d’établir une connexion avec les énergies de notre corps. Il s’agit d’une zone très petite sur notre tête. Placer quelque chose sur la tête est aussi très sacré. Dans n’importe quelle tradition, si quelque chose est très sacré, on le place généralement sur la tête».

Les masques ne servent pas à nous protéger des reliques mais à les protéger de nous.

Andrea Bridger a déclaré: «Étant donné que les reliques sont vulnérables, nous tentons d’éviter toute interaction avec la moisissure dans l’air et notre souffle contient cet élément en lui».

Les bouddhistes pensent que voir les reliques inspire les aptitudes spirituelles comme la bonté et l’énergie positive. C'est un des buts de l’exposition.

Après la tournée, les reliques seront placées dans l’Autel du Cœur de la statue du Bouddha Maitreya, qui sera construite à Kushingar, dans le nord de l’Inde.

NTD News, Jerusalem

Pour avoir accès à cette information en video: http://fr.ntdtv.com/ntdtv_fra/actualite/2012-01-20/132289279273.html

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