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Romancière inspirée par les couleurs de Shen Yun

Écrit par Nathalie Dieul, Epoch Times
05.01.2013
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  • L’écrivaine et peintre Pascale Quiviger a assisté à la représentation de Shen Yun samedi après-midi. (Gracieuseté NTDTV)

MONTRÉAL - La peintre et écrivaine Pascale Quiviger repart de la représentation de Shen Yun qu’elle a vue ce samedi après-midi à la Place des Arts de Montréal la tête pleine de couleurs et d’idées pour ses œuvres artistiques.

«Ce qui m'inspirait le plus c'est la façon dont la couleur est mise en valeur. Et puis oui j'avoue que ça m'a fait penser à mes textes et à la façon dont je pourrais injecter plus de couleurs dedans.»

Pascale Quiviger a deux passions  pour lesquelles elle est reconnue : la peinture et l’écriture. Elle est l’auteure de plusieurs romans, entre autres  : Ni sols ni ciels, La maison des temps rompus, Pages à brûler.  Le plus connu, Le cercle parfait, un roman qu’elle a publié en 2004, a reçu le prix du Gouverneur général. Elle a été finaliste pour le prix Giller ainsi que pour le prix Anne-Hébert.

Quant à ses peintures, elles ont fait partie de plusieurs expositions solo, principalement en Italie où elle a habité pendant dix ans, mais aussi à Montréal, sa ville natale. Elle est mariée à l’ex-député britannique Alan Simpson et vit maintenant en Angleterre.


«Je trouve que la troupe porte très, très bien son nom.» En effet, Shen Yun signifie : «la beauté des êtres divins qui dansent».

«Je pense que ça nous rapproche d'un monde céleste, puis ça nous engage à le trouver ici aussi, à le trouver dans les autres, à le trouver à l'intérieur d'une interaction humaine et matérielle», partage-t-elle.

L’artiste, qui a visité une partie de la Chine, a retrouvé avec plaisirs des paysages stupéfiants, grâce au fond d’écran situé derrière les danseurs de ShenYun. «J'aime la façon dont les êtres célestes apparaissent sur la scène aussi.» Toutes sortes de personnages célestes – fées, bouddhas et autres – descendent sur scène à partir du fond d’écran animé», décrit l’auteur.

«J'ai trouvé que la façon dont les costumes et les chorégraphies elles-mêmes s'agençaient avec les paysages était très belle et variée.»

Parmi les tableaux qui l’ont le plus marquée, la peintre cite celui de l’ouverture, qui l’a presque hypnotisée, Descente dans le monde qui est «comme l’introduction au spectacle», puis Danse du bol de Mongolie, dont les mouvements des danseuses avec des bols sur la tête l’ont impressionnée.

Elle a également beaucoup aimé deux autres numéros très distincts pour un élément commun  : les longues manches de soie qui prolongent le mouvement des artistes, donnant un effet visuel onirique. Danser pour les dieux met en scène une danse tibétaine exécutée par des hommes, alors que Élégance ancienne est dansée par des femmes. Les costumes de ces deux numéros sont composés de longues manches.

«J'ai été particulièrement impressionnée par celle des hommes parce que ça leur donne une grâce presque féminine», commente celle qui a trouvé que la grâce des danseurs ne leur enlevait nullement leur virilité, bien au contraire.

D’après un reportage de NTDTV

Epoch Times est un fier partenaire média de la tournée 2013 de Shen Yun Performing Arts.

 

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