Un entrepreneur en alimentation renoue avec sa passion du tai chi

Écrit par Matthew Little, Epoch Times
10.01.2014
  • Walid Velhouane et sa mère, à la sortie du théâtre Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, à la suite de la représentation de Shen Yun. (Mathieu Côté-Desjardins/Epoch Times)

Walid Velhouane, entrepreneur dans le secteur de l’alimentation, a été sidéré par la beauté du spectacle de Shen Yun, propulsant le public sur une ligne du temps de 5000 ans de civilisation chinoise. En vérité, il savait un peu à quoi s’en tenir comme il connaissait une personne étant liée à la compagnie de danse classique qui le lui avait fortement suggéré. Il l’a cru sur parole et a même décidé d’inviter sa mère, qui ne parle ni français, ni anglais et encore moins le mandarin. Et pourtant la magie de la danse et de la formule unique à Shen Yun a opéré et brisé les barrières des langues.

«C’est vraiment d’une grande beauté», s’extasie M. Velhouane, qui avoue être étonné que le spectacle ait passé aussi rapidement. «Vraiment, on n'a pas senti le temps passé. On dirait qu'on est resté 15 minutes. C'est vrai! D'habitude, je suis quelqu'un qui n'est vraiment pas patient, pas juste pas patient, mais je n'aime pas trop être assis longtemps. Parce que je bouge tout le temps. Mais là, je ne sais pas comment j'ai passé deux heures et demi sans problème», explique Walid Velhouane.

M. Velhouane a déjà pratiqué le tai chi, ce qui fait qu’il a spécialement affectionné le tableau La fluidité du tai chi présenté en première partie du spectacle.

Le tai chi, avec ses gracieux mouvements, est probablement un des arts martiaux les plus connus au monde. Pratiqué dans la lenteur, une partie de ses mouvements est inspirée de l’observation des animaux. Ainsi, le serpent, la grue, le chat, le cheval, le coq ou encore le singe font partie des figures courantes du tai chi. D’autres mouvements sont inspirés de la nature ou de la vie quotidienne de l’ancienne Chine : «jouer du pipa», «mouvoir les mains comme les nuages», «saisir l’aiguille au fond de la mer», «la belle tisse la navette» ou bien «déployer l’éventail». Toutes ces figures sont regroupées en enchaînements, liées les unes aux autres de manière harmonieuse. Les mêmes mouvements pratiqués à grande vitesse font pourtant de cette sorte de méditation en mouvement un art martial redoutable.

Certaines formes de tai chi emploient un accessoire : épée, sabre, lance, bâton, perche ou éventail. L’utilisation d’éventails colorés qui claquent lorsque les pratiquants les ouvrent ou les referment est particulièrement spectaculaire, surtout lorsque plusieurs personnes pratiquent cet art de manière bien synchronisée.

La prochaine étape de la tournée canadienne de Shen Yun est Hamilton (11 et 12 janvier), puis la compagnie visitera Kitchener-Waterloo (14 et 15 janvier), Mississauga (du 16 au 19 janvier), Toronto (du 23 au 26 janvier) et Vancouver (du 23 au 25 janvier).

Pour en savoir davantage, visitez : ShenYunPerformingArts.org   

Epoch Times est fier d’être partenaire média de Shen Yun Performing Arts.