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La beauté du geste

Écrit par Sophie Brunswig, Epoch Times
08.01.2014
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  • Michèle Langevin (gauche) et son amie Céline Martel (Nathalie Dieul/Epoch Times)

Michèle Langevin et son amie Céline Martel étaient présentes le mardi 8 janvier au spectacle de la compagnie Shen Yun Performing Arts à la Place des Arts de Montréal. Mme Langevin, présidente de la société Activa Nature, proposant une gamme de produits optimale – sous forme de substituts de repas –  pour la santé de tous, est venue des Laurentides avec son amie pour l’événement. Assises au 7e rang au parterre pour plus de visibilité sur les détails, Michèle Langevin a décrit une partie de son expérience : «Nous avons vu ces gestes, inhabituels mais simplement magnifiques!»

Dans la danse classique chinoise, chaque mouvement de chaque partie du corps a son importance. Souvent, les spectateurs préfèrent voir une représentation de danse avec un peu de recul plutôt qu’au premier rang. Pourtant, voir Shen Yun à partir des premiers rangs permet de saisir tous ces détails comme les positions des mains et les expressions des artistes que l’on perd lorsque l’on assiste à la représentation plus loin dans la salle.

La main de l’orchidée ou Lan Hua Zhang est une des positions de mains fondamentales des danseuses classiques chinoises. Elle exprime la grâce féminine par le geste de plier le pouce et le majeur à la base des doigts, les faisant se rencontrer au centre de la paume de la main. La main de l’orchidée est utilisée par les danseuses qui incarnent des dames nobles ou des fées célestes, nombreuses dans une représentation de Shen Yun.

L’expressivité typique de la danse classique chinoise en fait le médium parfait pour illustrer des histoires. Les danseurs de Shen Yun travaillent beaucoup le regard et leurs expressions faciales devant un miroir. Ils étudient longuement leur personnage, comme un acteur de théâtre ou de cinéma le ferait, avant de pouvoir l’incarner sur scène.

Céline Martel n’est pas restée insensible à la musicalité de l’instrument chinois dont l’histoire remonte à plus de 2000 ans, l’erhu. «La fille qui jouait de l’erhu était magnifique, c’était divin, j’ai vraiment aimé ça!»

Le son de l’erhu est délicat comme la soie, tout en étant envoûtant. Il peut rester à l’esprit pendant une longue période. À l’époque, on utilisait la soie pour faire les cordes de l’erhu. De nos jours, on utilise les cordes de métal reconnues pour leur durabilité et leur son plus puissant.

Deux autres représentations de Shen Yun seront données à la Place des Arts de Montréal, les 8 et 9  janvier à 20 h. Ensuite, Shen Yun visitera Hamilton (11 et 12 janvier), Kitchener-Waterloo (14 et 15 janvier), Mississauga (du 16 au 19 janvier), Toronto (du 23 au 26 janvier) et Vancouver (du 23 au 25 janvier) pour compléter sa tournée canadienne.

Pour en savoir davantage, visitez : ShenYunPerformingArts.org

Epoch Times est fière d’être partenaire média de Shen Yun Performing Arts.

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