Écrit par Nathalie Dieul, Epoch Times

«Méditation, mouvements artistiques et beauté»: c’est ainsi que Dr Gaston Schwarz, un éminent chirurgien plasticien de renommée internationale, décrit le spectacle de Shen Yun qu’il est venu voir le 8 janvier, la troisième représentation.

«C’est une histoire tellement longue et riche, c’est difficile de mettre toute cette histoire si longue et de la décrire en un spectacle, c’est un clin d’œil à la vie chinoise», souligne Dr Schwarz, enchanté de ce qu’il a vu. «Ça représente beaucoup l’esprit qu’ont les Chinois: la spiritualité, la délicatesse… et il me semble que c’est un spectacle qui vaut la peine d’être vu», ajoute sa femme Maria Schwarz.

Dr Gaston Schwarz et sa femme sont originaires du Pérou. Après avoir obtenu son diplôme de médecine (M.D.) à l’Université d’Ottawa avec la mention cum laude, Dr Schwarz a étudié la chirurgie générale, puis la chirurgie plastique à l’Université McGill. Il a continué à se former en chirurgie esthétique à l’Université de Miami, sous la supervision de l’éminent Dr Ralph Millard. Sa carrière a débuté comme professeur de chirurgie plastique à l’Université McGill, où il enseigne toujours. Il possède une clinique privée où il pratique dans le très chic quartier du Mille Carré Doré de Montréal, avec sa femme qui est son assistante, et son fils, également chirurgien esthétique. Ses patients viennent du monde entier. Il a été président de la Société canadienne de chirurgie esthétique (cosmétique) plastique, secrétaire national de l’International Society of Aesthetic Plastic Surgery et président de la D. Ralph Millard Plastic Surgery Society and Education Foundation. Il a été décoré par le gouvernement péruvien pour son travail humanitaire.

Le couple, qu’Epoch Times a rencontré à l’entracte, a aimé voir dans le spectacle une scène de la Chine actuelle, Le lotus inébranlable, qui démontre bien «le manque de droits humains. […] Cela montre des valeurs, cela montre qu’ils sont enfermés là-bas», souligne le chirurgien esthétique. Dr Schwarz et sa femme se sont rendus une fois à Hong Kong et dans la province du Guangdong avant l’époque du massacre de la place Tian An Men, à une époque où le gouvernement chinois ne laissait aucun étranger pénétrer sur son territoire. «Ils ne nous ont pas laissés rentrer [en Chine]», précise Mme Schwarz.

Parmi les 20 numéros qui composent le spectacle de la tournée 2014 de Shen Yun, Le lotus inébranlable met en scène deux pratiquantes de Falun Dafa, une mère et sa fille dans une Chine moderne. Elles se retrouvent persécutées après que la mère a offert à sa fille une bannière sur laquelle elle avait brodé les mots «Authenticité, Bienveillance, Tolérance» et une fleur de lotus.

Le Falun Dafa, aussi appelé Falun Gong, est une ancienne discipline spirituelle traditionnelle chinoise qui comprend des exercices, de la méditation ainsi que des principes moraux qui font que les pratiquants essaient en permanence de devenir de meilleures personnes. Des millions de personnes, principalement en Chine, ont été attirées par cette pratique simple qui apporte la paix du corps et de l’esprit. Malheureusement, le Parti communiste chinois a décidé de persécuter cette discipline en 1999, après l’avoir soutenue pendant plusieurs années. Cette persécution inhumaine continue encore aujourd’hui.

La chorégraphie a touché Maria Schwarz, qui a trouvé que le spectacle «représente très bien la pensée chinoise et la personnalité. […] Ça me plaît beaucoup». «C’est très bien fait», a déclaré son époux.

Une dernière représentation de Shen Yun sera donnée à la Place des Arts de Montréal le jeudi 9 janvier à 20 h. Ensuite, Shen Yun visitera Hamilton (11 et 12 janvier), Kitchener-Waterloo (14 et 15 janvier), Mississauga (du 16 au 19 janvier), Toronto (du 23 au 26 janvier) et Vancouver (du 23 au 25 janvier) pour compléter sa tournée canadienne.

Pour en savoir davantage, visitez: ShenYunPerformingArts.org

Epoch Times est fier d’être partenaire média de Shen Yun Performing Arts.