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Une petite Chinoise découvre ses racines

Écrit par Nathalie Dieul, Epoch Times
09.01.2014
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  • Grâce à Shen Yun, Éric Cunningham fait découvrir la culture chinoise à sa fille Maya qui a des origines chinoises. (Nathalie Dieul/Epoch Times)

Qu’est-ce qui peut réunir dans un seul spectacle 400 costumes colorés faits à la main, une troupe de danseurs classiques chinois parmi les meilleurs au monde, un orchestre symphonique alliant à la fois des instruments chinois et occidentaux, des fonds de scène gigantesques et animés qui interagissent avec les danseurs, des chanteurs d’opéra solistes, une virtuose d’erhu (le violon chinois à deux cordes), des contes et légendes de la mythologie chinoise, des danses folkloriques et ethniques en plus de la danse classique chinoise la plus pure? Il n’y a que Shen Yun qui est capable de réussir cela!

Il arrive souvent que des gens emmènent des enfants voir Shen Yun pour découvrir ou redécouvrir leurs origines, qu’il s’agisse d’enfants adoptés, métissés ou encore de Chinois nés en Occident. Éric Cunningham, directeur des opérations pour Citi Financière, est venu se plonger dans l’atmosphère chinoise avec sa fille Maya, sept ans, après avoir reçu des billets en cadeau des grands-parents de la petite, les parents de sa femme étant des Chinois de la Jamaïque.

«Je pense que c’est fantastique la culture chinoise, ma petite fille ici est chinoise aussi, ses grands-parents sont chinois, du fait c’est bien de lui montrer un peu la culture chinoise. […] C’est une bonne occasion pour elle d’expérimenter cette culture.»

La petite Maya, qui adore danser, a l’air de trouver cette manière de découvrir sa culture tout à fait à son goût.

«La chorégraphie, je pense que c’est fantastique, ça fait découvrir un tas d’endroits en Chine que je ne connaissais pas vraiment… les costumes sont fantastiques, c’est ça que je trouve intéressant», s’enthousiasme le directeur des opérations.

Les vêtements de la prospère dynastie Tang (qui s’étend de 618 à 917 apr. J.-C.) étaient parmi les plus riches, autant du point de vue artistique que du point de vue des matériaux choisis. La qualité des tissus était particulièrement fine et délicate. Les soieries faisaient partie des trésors de la Chine ancienne, au même titre que l’or et l’argent.

Une partie des costumes et des accessoires que portent les danseurs de Shen Yun est bien évidemment en soie. La plupart d’entre eux sont fabriqués à la main, dans un souci du détail digne des grands couturiers impériaux de l’ancienne Chine.

Une dernière représentation de Shen Yun sera donnée à la Place des Arts de Montréal, soit le jeudi 9 janvier à 20 h. Ensuite, Shen Yun visitera les villes de Hamilton (11 et 12 janvier), Kitchener-Waterloo (14 et 15 janvier), Mississauga (du 16 au 19 janvier), Toronto (du 23 au 26 janvier) et Vancouver (du 23 au 25 janvier) pour compléter sa tournée canadienne.

Pour en savoir davantage, visitez : ShenYunPerformingArts.org

Epoch Times est fier d’être partenaire média de Shen Yun Performing Arts.

 

 

 

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