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Au-delà de la science

Des nanostructures anciennes anachroniques et hors contexte

Écrit par Leonardo Vintini, Epoch Times
15.11.2014
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  • Image magnifiée d’une des nanobobines trouvées dans les montagnes de l’Oural. (Screenshot/Cosmos News/YouTube)

L’univers est rempli de mystères qui remettent en question notre savoir actuel. Dans la série «Au-delà de la science», Epoch Times rassemble des récits à propos de ces phénomènes étranges pour stimuler notre imagination et nous amener à découvrir des horizons insoupçonnés. Sont-ils vrais? À vous de décider.

OOPart (Out Of Place Artifact ou en français, artéfact qui ne devrait pas être là, qui est hors contexte) est un terme qui s’applique à des dizaines d’objets préhistoriques se trouvant dans différents endroits dans le monde et qui semblent être représentatifs d’un niveau d’avancement technologique incongru avec la période temporelle à laquelle ils semblent avoir été produits. Les oopart sont souvent frustrants pour les scientifiques des milieux conventionnels, mais réjouissent souvent les investigateurs aventuriers qui sont ouverts aux théories alternatives, ils instiguent les débats.  

En 1991, l’apparition d’un artéfact extrêmement petit de la forme d’une bobine trouvée près des rives des rivières Kozim, Narada et Balbanyu, en Russie, a instigué un débat qui n’est toujours pas épuisé à ce jour. Ces mystérieuses et minuscules structures suggèrent l’existence possible d’une culture de gens capables de développer les nanotechnologies il y a 300 000 ans.

Ces bobines fabriquées de façon inconnue ont été découvertes lors de recherches géologiques associées à l’extraction d’or dans les montagnes de l’Oural. Ces pièces comprennent des bobines, des spirales, des moyeux et autres composants non identifiés.

Selon une analyse de l’Académie des sciences russe de Syktyvkar, les plus grandes pièces trouvées sont faites en majorité de cuivre, alors que les plus petites sont faites de tungstène et de molybdène.

Alors que les objets les plus grands mesurent 2,99 cm, les plus petits mesurent seulement 0,00254 de millimètre et plusieurs présentent la proportion d’or. Leur forme suggère qu’ils ont été fabriqués, donc qu’ils ne sont pas des fragments de métal présents de façon naturelle dans le milieu. En fait, on a observé qu’ils ressemblent de près à des composants issus de la nanotechnologie actuelle.

Même si quelques-uns ont affirmé que ces minuscules structures sont simplement des débris laissés par des fusées d’essai lancées de la station spatiale voisine de Plesetsk, un rapport produit par l’Institut de Moscou a déterminé qu’ils sont beaucoup trop vieux pour qu’on les confonde avec des composants de fabrication moderne.

En 1996, Dr E.W. Matvejeva, du Département central de recherche scientifique en géologie et exploitation de métaux précieux de Moscou, écrit que, bien qu’ils datent de milliers d’années, les composants sont d’origine technologique.

Les pièces ont été trouvées à une profondeur de 3 à 12 mètres, dans une strate géologique suggérant qu’elles datent de 20 000 à 318 000 années.

Comment des humains ont-ils été en mesure de fabriquer des composants aussi minuscules dans un passé aussi lointain, et pour quels usages étaient-ils destinés? Certains croient que les bobines sont la preuve que la race humaine a profité d’un niveau sophistiqué de technologie dans la période pléistocène, alors que d’autres affirment que les trouvailles sont l’œuvre d’extra-terrestres.

Les artéfacts ont été étudiés à quatre endroits différents à Helsinki, Saint-Pétersbourg et Moscou. Pourtant, des recherches poussées de ces petites structures semblent s’être arrêtées en 1999 lors du décès du Dr Johannes Fiebag, un des chercheurs principaux.

Version originale : Ancient Nanostructures Found Out of Place and Time

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