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Au-delà de la science

Des morceaux de verre dans le désert formés le résultat d’explosions atomiques très anciennes

Écrit par Leonardo Vintini, Epoch Times
27.11.2014
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  • Morceau de verre provenant du désert libyque, pierre de bonne qualité présentant une inclusion foncée intéressante et très rare, 19,5 grammes. (www.marmet-meteorites.com/id37.html)

L’univers est rempli de mystères qui remettent en question notre savoir actuel. Dans la série «Au-delà de la science», Époque Times rassemble des récits à propos de ces phénomènes étranges pour stimuler notre imagination et nous amener à découvrir des horizons insoupçonnés. Sont-ils vrais? À vous de décider.

Sept années après les essais nucléaires d’Alamogordo au Nouveau-Mexique, Dr J. Robert Oppenheimer, père de la bombe atomique, donnait une conférence dans une université lorsqu’un étudiant lui demanda si les essais nucléaires qu’il avait dirigés étaient les premiers à avoir été faits.

«Oui, à notre époque», a-t-il répondu.

Cette phrase énigmatique et incompréhensible à ce moment était en fait une référence aux anciens textes hindous qui décrivent une catastrophe apocalyptique qui ne correspond à aucune éruption volcanique ni à aucun autre phénomène connu. Oppenheimer avait étudié avidement l’ancien sanskrit et se rapportait sans doute au passage du Bhagavad Gita qui décrit un désastre mondial causé par «une arme inconnue, un rayon de métallique». 

Malgré qu’il puisse être effarant pour la communauté scientifique de considérer l’existence d’armes atomiques avant le cycle de civilisation actuelle, les preuves de ce phénomène semblent murmurer ces versets aux quatre coins de la planète.

Morceaux de verre dans le désert

Cette preuve provient non seulement des versets hindous, mais aussi des nombreux fragments d’éclisses de verre fusionné éparpillés partout dans plusieurs déserts du monde. Ces cristaux de silice, de forme étrange, ressemblent remarquablement aux fragments retrouvés après les explosions sur le site des essais nucléaires d’Alamogordo à White Sands.

En décembre 1932, Patrick Clayton, un arpenteur de service égyptien des études géologiques, parcourait en voiture les dunes de la grande mer de sable près du plateau de Saad en Égypte, lorsqu’il entendit quelque chose craquer sous ses pneus. Après avoir examiné la cause de ce bruit, il découvrit de grands morceaux de verre dans le sable.

La découverte attira l’attention de géologues de par le monde et fut le point de départ d’une des plus grandes énigmes scientifiques modernes. Quel phénomène pourrait faire élever la température du sable du désert à au moins 1815 °C, pour ensuite le mouler en de grandes feuilles de verre durci jaune-vert?

En traversant la rampe de lancement de White Sand, à Alamogordo, Albion W. Hart, un des premiers ingénieurs diplômés de l’Institut des technologies du Massachusetts, observa que les morceaux de verre laissés par les essais nucléaires étaient identiques aux formations observées dans le désert africain 50 ans auparavant.

Plusieurs scientifiques ont cherché à expliquer la dispersion de ces larges pierres de verre dans le désert de Libye, dans le Sahara, dans le désert du Mojave et dans plusieurs autres endroits du monde comme étant liée à l’impact de météorites gigantesques. Pourtant, à cause de l’absence de cratères dans le désert, la théorie ne tient pas la route. Ni l’imagerie satellite ni les relevés sonars du sol n’ont détecté de trous.

De plus, les pierres de verre trouvées dans le désert libyque présentent un degré de transparence et de pureté (99 %) qui n’est pas typique des fusions qui résultent de la chute de météorites, dans lesquelles du minerai de fer et d’autres matériaux sont mêlés au silicium après l’impact.

Malgré tout, les scientifiques ont proposé la possibilité que les météorites ayant causé les pierres de verre aient explosé à plusieurs kilomètres au-dessus de la surface de la Terre, de façon similaire aux évènements de Tungunska, ou bien qu’elles aient tout simplement rebondi de manière telle qu’elles aient entraîné avec elles les preuves d’impacts en laissant derrière la chaleur causée par la friction.

Cependant, ceci n’explique pas comment deux superficies à proximité l’une de l’autre dans le désert libyque présentent les mêmes caractéristiques – la probabilité que deux météorites soient tombées si près l’une de l’autre est très faible. Cela n’explique pas non plus l’absence d’eau dans les échantillons de tectites dans des endroits d’impacts qui, selon les connaissances actuelles, devaient être recouverts d’eau il y a 14 000 ans.

  • Morceau de verre provenant du désert libyque, plusieurs pièces présentent ces marques. Comment se sont-elles formées? (http://www.marmet-meteorites.com/id37.html)

Catastrophe ancienne à Mohenjo-Daro

La ville où la culture a émergé, dans l’actuelle vallée de l’Indus, représente une grande énigme. Les pierres des ruines se sont partiellement cristallisées ainsi que les habitants de l’endroit dont on discerne vaguement la forme. En plus, de mystérieux textes de la région mentionnent une période de sept jours de reconnaissance envers des voitures volantes nommées «Vimanas», pour avoir sauvé 30 000 habitants d’un évènement horrible.

En 1927, des années après la découverte des ruines de Mohenjo-Daro, 44 squelettes humains ont été découverts sur les pourtours de la ville. La majorité a été trouvée face contre terre, ils étaient couchés dans la rue et se tenaient par la main comme si une catastrophe sérieuse engouffrait soudainement la ville. Aussi, quelques-uns des corps présentaient des signes de radiation inexplicables. Plusieurs experts croient que Mohenjo-Daro représente une preuve irrévocable qu’une catastrophe nucléaire est survenue deux millénaires avant la venue du Christ.

Néanmoins, la ville n’est pas le seul lieu où des évènements nucléaires sont soupçonnés s’être déroulés. Des dizaines de bâtiments de l’Ancien Monde présentent des briques fusionnées avec des pierres, comme des essais thermiques que les scientifiques ne peuvent expliquer :

•    Forteresses et Tours anciennes de l’Écosse, de l’Irlande et de l’Angleterre;

•    La ville de Çatal Höyük en Turquie;

•    Alalakh au nord de la Syrie;

•    Les ruines des Sept Cités, près de l’Équateur;

•    Villes situées entre le fleuve du Gange et les Rajmahal Hills en Inde;

•    La région du désert du Mojave, aux États-Unis.

Dans n’importe quel endroit dans le monde, la présence de températures extrêmes et de vives descriptions de cataclysmes terribles suggère la possibilité que, à une époque précédente, la technologie nucléaire était déjà connue – une époque pendant laquelle la technologie atomique a pu être utilisée contre le bien de l’humanité.

Pour vous procurer des pièces de verre uniques qui ont été trouvées dans le désert de Libye ainsi que d’autres pierres rares, visitez le www. marmet-meteorites.com

Version originale : Desert Glass Formed by Ancient Atomic Bombs?

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