Un peintre ravi par Shen Yun

Écrit par Nathalie Dieul et Rahul Vaidyanath, Epoch Times
10.01.2015
  • Le peintre Stuart McAdam et son amie ont apprécié le spectacle de Shen Yun lors de la représentation du vendredi 9 janvier à la Place des Arts. (Nathalie Dieul/Epoch Times)

MONTRÉAL – Le peintre Stuart McAdam a assisté le 9 janvier à la troisième représentation de Shen Yun Performing Arts à la Place des Arts et il a été emballé par toutes ses facettes : la musique, la danse et les fonds de scène.

Shen Yun fusionne la danse classique chinoise, un orchestre et des costumes sophistiqués. Au fond de la scène, on retrouve un écran numérique qui fait le pont avec des royaumes célestes et des époques anciennes en Chine.

«Coloré, entraînant, la musique est très belle également, très appropriée», affirme M. McAdam décrivant l’ensemble du spectacle. «La musique est très intéressante.»

M. McAdam est Écossais et ses œuvres ont été présentées dans plusieurs expositions au Royaume-Uni, en Australie, en Hollande et aux États-Unis. Il détient un baccalauréat en beaux-arts avec mention d’excellence du Duncan of Jordanstone College of Art à Dundee, Écosse. Il est maintenant établi à Montréal.

«Il n’y a rien comme un orchestre au lieu d’une trame sonore», estime M. McAdam. Il a fait remarquer qu’il est rare d’entendre un orchestre comprenant des instruments de musique chinois. L’orchestre de Shen Yun est unique, puisque les instruments chinois jouent la mélodie alors que les instruments occidentaux accompagnent.

M. McAdam assiste à de nombreux spectacles et a en fait déjà travaillé à la Place des Arts. Avec ses dix années d’expérience en théâtre, il a une perception différente des spectacles alors qu’il prend également en compte la dimension des coulisses.

Il remarque que Shen Yun, avec le fond de scène numérique et sans la présence excessive d’accessoires, met l’accent sur les danseurs sur la scène.

«J’apprécie particulièrement l’athlétisme dans la danse, l’agilité, la façon avec laquelle les artistes peuvent réaliser les culbutes», mentionne M. McAdam.

Les maîtres de cérémonie ont expliqué comment la danse classique chinoise, soit la forme la plus utilisée dans Shen Yun, a évolué au cours de milliers d’années en soulignant aussi que les sauts, les pirouettes et les culbutes ont toujours été des parties intégrantes de ce système de danse. Elle est aussi très expressive et remplie de sens.

M. McAdam a apprécié les fonds de scène animés, en particulier comment ils interagissent avec les danseurs sur la scène. Ils renforcent tous les aspects du spectacle.

«C’est en fait très bien, ce n’est pas surutilisé, alors l’accent est encore sur les artistes», estime M. McAdam.

Il a apprécié certains des effets spéciaux comme lorsque les danseurs disparaissent dans le fond de scène.

Les fonds de scène de Shen Yun ajoutent beaucoup de profondeur au spectacle, car les danseurs sont sur scène à un instant et, le suivant, ils s’envolent sur le fond de scène.

D’autres représentations de Shen Yun seront présentées à la Place des Arts de Montréal jusqu’au 11 janvier et au Grand Théâtre de Québec les 13 et 14 janvier 2015. Pour en savoir davantage sur Shen Yun, consultez le site Internet : fr.shenyun.com/. Shen Yun Performing Arts est basée à New York et comprend quatre troupes présentant des spectacles simultanément partout dans le monde.

Epoch Times considère Shen Yun comme un événement culturel important de notre époque. Nous assurons fièrement la couverture médiatique des spectacles en présentant les commentaires des spectateurs autour du monde depuis la création de Shen Yun en 2006.