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Le président d’une entreprise en électronique aime la connexion entre les danseurs et les projections dans Shen Yun

Écrit par Weiya Yang, Epoch Times
11.01.2015
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  • André Spilmann, président de QMA Électronique, et son épouse, Marie Ouimet, directrice des opérations pour une entreprise de câblage, partagent leurs points de vue à l’entracte de Shen Yun le 10 janvier 2015 à la Place des Arts de Montréal. (Weiya Yang/Epoch Times)

MONTRÉAL – Lorsque le président d’une entreprise du domaine de l’électronique et son épouse, la directrice des opérations d’une autre firme de haute technologie, sont venus voir Shen Yun Performing Arts, il était certain que leur attention serait captée par les projections multimédias en fond de scène.

Les fonds de scène utilisent des graphiques à la fine pointe de la technologie pour prolonger la scène et ouvrir une fenêtre vers d’autres univers, que ce soit l’Himalaya enneigé, la scène d’un champ de bataille épique sur le fleuve Yangtsé il y a deux millénaires ou bien le palais sous-marin d’un roi dragon.

«Ça ajoute beaucoup de vie et ça devient vraiment comme une histoire facile à comprendre. Même si nous ne possédons pas le bagage culturel, nous pouvons très bien comprendre les histoires avec l’écran à l’arrière», selon André Spilmann.

M. Spilmann, ingénieur de métier, est le président de QMA Électronique, qui fabrique des circuits imprimés de haute qualité.

Il dit avoir apprécié l’interaction entre les fonds de scène et les danseurs tout au long du spectacle.

«J’aime comment des choses prennent vie dans l’écran pour émerger et comment cette vie retourne ensuite dans l’écran. J’aime vraiment ça, je trouve cette manière de faire vraiment intelligente», explique-t-il.

Son épouse, Marie Ouimet, partage son opinion.

«C’est vraiment intéressant. J’aime vraiment le concept. Ma mère me disait : “Oh, c’est comme de la magie! Regarde ça! Comment ont-ils fait?” C’est très bien, ça apporte probablement quelque chose qu’ils n’auraient pu produire avec un fond de scène normal. Je pense donc que ça ajoute de la magie», mentionne-t-elle.

Mme Ouimet est la directrice des opérations pour une compagnie qui assemble des câbles informatiques et électriques.

Le couple vient régulièrement à la Place des Arts, mais il n’avait jamais assisté à un spectacle de Shen Yun Performing Arts jusqu’à aujourd’hui, bien que ça fait des années qu’il veut venir, indique M. Spilmann.

«C’est très impressionnant», affirme-t-il.

«Je suis très impressionné par les costumes, la danse et la synchronisation et la musique. Aussi, j’aime vraiment la chorégraphie et comment elle cadre avec la musique», ajoute-t-il.

«C’est très inspirant, ça c’est certain», exprime Mme Ouimet.

«Je crois que c’est beaucoup plus émotif que le ballet classique, alors je pense que c’est l’aspect que j’aime le plus de ce que j’ai vu», ajoute-t-elle.

«Je pense que le ballet classique est très rigide, [mais dans Shen Yun] on pouvait voir la joie et le bonheur, ou la tristesse, comme s’il y avait beaucoup...»

«D’expression», a terminé son époux.

«L’expression, oui, que nous pouvions voir. C’était parfois drôle, c’était parfois plus gracieux. Il y avait beaucoup de choses, beaucoup de choses différentes là-dedans. J’ai trouvé que c’était très bien», estime Mme Ouimet.

Alors que la danse classique chinoise, un art transmis depuis des milliers d’années, est au cœur de Shen Yun, la compagnie présente également des danses folkloriques de différentes régions de Chine, ainsi que des danses ethniques de certains groupes. Les Hmong est un de ces groupes.

M. Spilmann a vraiment apprécié la danse Dans un village hmong, avec «toutes les petites clochettes» portées par les danseuses, dit-il.

«J’ai trouvé ça bien différent de tout ce que j’avais vu avant.» Il dit avoir été frappé par «la façon avec laquelle elles jouaient avec les clochettes et les costumes».

«J’ai vraiment aimé le numéro avec les longues manches, j’ai trouvé ça tellement gracieux», indique Mme Ouimet. «En fait, j’avais les larmes aux yeux. C’était juste trop beau.»

Ce numéro, appelé Manches gracieuses, offre un paysage du début du printemps où de jeunes dames planent avec leurs pas délicats, leurs mouvements accentués par leurs longues manches flottantes.

D’autres représentations de Shen Yun seront présentées à la Place des Arts de Montréal jusqu’au 11 janvier et au Grand Théâtre de Québec les 13 et 14 janvier 2015. Pour en savoir davantage sur Shen Yun, consultez le site Internet : fr.shenyun.com/. Shen Yun Performing Arts est basée à New York et comprend quatre troupes présentant des spectacles simultanément partout dans le monde.

Epoch Times considère Shen Yun comme un événement culturel important de notre époque. Nous assurons fièrement la couverture médiatique des spectacles en présentant les commentaires des spectateurs autour du monde depuis la création de Shen Yun en 2006.

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