Shen Yun éblouit des milliers de spectateurs à la Place des Arts de Montréal et au Grand Théâtre de Québec

Écrit par Epoch Times
19.01.2015
  • Fin de la cinquième représentation de Shen Yun Performing Arts qui a eu lieu dans la soirée du 10 janvier 2015 à la Place des Arts de Montréal. (Evan Ning/Epoch Times)

Plus de 400 représentations par année, dans plus d’une centaine de villes : c’est la tournée annuelle que réalise la compagnie Shen Yun Performing Arts chaque année depuis 2006. La mission que s’est donnée Shen Yun est de faire renaître les 5000 ans de la culture chinoise d’inspiration divine à travers les langages universels que sont la musique et la danse classique chinoise.

Entre la fin décembre et la mi-mai, chacune des quatre troupes d’égale importance réussit le tour de force de montrer la même production de l’année simultanément sur plusieurs continents. Cette année, c’est la troupe appelée «Shen Yun Performing Arts International Company» qui s’occupe de la tournée dans l’est du Canada. Elle vient de donner huit représentations au Québec, du 7 au 14 janvier : six à la Place des Arts de Montréal et deux au Grand Théâtre de Québec. Dans ces deux grandes villes québécoises, plusieurs salles combles attendaient la célèbre compagnie de danse basée à New York, et des ovations debout ont suivi chaque représentation.

Des danseurs qui figurent parmi les élites des artistes de danse classique chinoise du monde et un orchestre de classe internationale combinent leur art, mettant en scène des chorégraphies originales et des compositions musicales créées simultanément. Des fonds de scène numériques rendent la scène plus grande et plus réelle, se transformant en «fenêtres magiques vers des royaumes complétement différents», peut-on lire sur le site Web de la compagnie. Certaines de ces fenêtres deviennent encore plus magiques lorsqu’elles s’animent pour faire revivre les histoires, les contes et légendes de la Chine.

Pour compléter le tout, la magie de Shen Yun ne serait pas la même sans les centaines de costumes aux couleurs chatoyantes, créés eux aussi spécialement pour chacun des numéros de la nouvelle saison.

Le programme de la tournée 2015 de Shen Yun met en scène 21 tableaux différents. La plupart sont des danses classiques chinoises, sept d’entre eux sont des histoires chinoises dansées. Cinq danses ethniques font voyager le spectateur entre les hauts plateaux tibétains et les rives tropicales de l’île de Hainan où habite l’ethnie Li. Une danse folklorique ajoute encore plus de vitalité à toute cette programmation, différente chaque année.

La dernière ville de la partie canadienne de la tournée mondiale de Shen Yun est Toronto, du 21 au 25 janvier. La compagnie continue sa tournée mondiale par la suite et s’arrêtera, entre autres, à Paris du 10 au 12 avril. Pour en savoir davantage sur Shen Yun, consultez le site Internet : fr.shenyun.com/. Shen Yun Performing Arts est basée à New York et comprend quatre troupes présentant des spectacles simultanément partout dans le monde.

Epoch Times considère Shen Yun comme un événement culturel important de notre époque. Nous assurons fièrement la couverture médiatique des spectacles en présentant les commentaires des spectateurs autour du monde depuis la création de Shen Yun en 2006.

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Quelques spectateurs de la Place des Arts de Montréal et du Grand Théâtre de Québec ont partagé leurs impressions sur Shen Yun :

1.    Pierre Charbonneau, qui a occupé différents postes en éducation et en pédagogie au cours de sa carrière, a assisté à la représentation du 7 janvier à Montréal.

 

  • Pierre Charbonneau le 7 janvier à la Place des Arts de Montréal (NTDTV)

«C’est une partie de notre âme que l’on découvre à travers le spectacle [de Shen Yun] et, vous savez, découvrir une partie de son âme dont on ne connaissait pas l’existence, c’est un moment unique dans une vie et je l’ai vécu ce soir.»

«Le sens de ce que j’ai compris dans ce spectacle et la beauté qu’on a proposée et toute la créativité aussi qu’il y avait derrière, toutes les interactions avec le fond d’écran, c’était tout à fait génial. C’était beau, c’était bon, c’était vrai. Il n’y a pas de plus belle qualité que ça.»

2.    La chef d’orchestre, compositrice, pianiste et chef de chœur bulgare, Vania Angelova, était dans l’assistance de la Place des Arts le 8 janvier.

  • La chef d’orchestre Vania Angelova à la Place des Arts le 8 janvier (Evan Ning/Epoch Times)

«Merci au chef d’orchestre Kiril Tarpov qui dirige cet orchestre : on dirait que ses mains englobent tous les artistes comme un seul corps, avec un seul pouls. Merci beaucoup pour cette soirée inoubliable!»

«Je tiens à dire que tout était parfait. J’ai tout écouté : les mouvements des phrases, la musique, tout était parfait. En ce qui concerne l’interprétation, tout était comme s’ils formaient un seul organisme : les musiciens, les danseurs, tout était parfait, très bon.»

«Tout était spécial : des lumières spéciales, des danseurs spéciaux, de la musique spéciale, des intonations spéciales, tout était spécial, même l’effet qu’ils ont, et un état d’esprit spécial. C’est un cadeau exceptionnel pour moi et pour tout le public.»

3.    L’archetier légendaire québécois François Malo, dont les archets sont parmi les plus réputés au monde, a découvert que le premier violon de Shen Yun utilisait ses archets lorsqu’il a assisté à la représentation de la compagnie le vendredi 9 janvier à la Place des Arts.

  • François Malo le 9 janvier à la Place des Arts de Montréal (Evan Ning/Epoch Times)

«L’orchestre est de très haut niveau», a-t-il dit. «Le niveau des musiciens est excellent, l’ensemble est très précis.»

«C’est harmonieux à la perfection et cela donne une musique très, très intéressante.»

«L’utilisation du vibrato est très, très touchante», souligne M. Malo à propos de l’effet du erhu, instrument traditionnel aussi appelé violon chinois. «Mei Xuan a joué merveilleusement bien, sa pièce était particulièrement touchante.»

«La composition est très bien faite, puisqu’ils savent faire [la musique pour] les deux types d’instruments, soit traditionnel et classique. Leurs compositeurs maîtrisent l’art d’une musique harmonisant ces deux types d’instruments», dit-il. «C’est vraiment réussi jusqu’à la fin.»

4.    Le sculpteur Jean-Jacques Chapdelaine, qui a sculpté sur presque tous les continents et dont les œuvres se trouvent dans de nombreuses collections privées et publiques, dont celles du Musée d’art contemporain de Montréal, a assisté à la représentation du 10 janvier au soir à la Place des Arts de Montréal.

  • Jean-Jacques Chapdelaine le 10 janvier au soir à la Place des Arts (Nathalie Dieul/Epoch Times)

«C’est merveilleux de voir la beauté des costumes et surtout de voir la façon dont ils sont utilisés. Le même costume sur quelqu’un qui n’a pas la grâce ni la flexibilité ni la souplesse, ou cette espèce de contrôle du corps, on n’aurait pas le résultat qu’on a là.»

«Toute la soirée, j’ai été touché par l’unité, l’unité du groupe autant femmes que hommes. […] c’est très harmonieux. Les couleurs aussi étaient harmonieuses.»  «Ce n’est pas axé sur l’individu, donc ça s’approche plus de quelque chose qui serait transcendé, qui serait plus près du divin.»

5.    Jacques Côté, ex-gymnaste et ancien entraîneur de gymnastique de l'équipe Olympique national du Canada, a pu admirer le côté athlétique des danseurs de Shen Yun lors d’une représentation dans la soirée du 10 janvier à la Place des Arts de Montréal.

  • Jacques Côté le 10 janvier à la Place des Arts de Montréal (Mathieu Côté-Desjardins)

«Ils se réceptionnent en douceur. C’est tellement doux et délicat.»

«Ce n’est pas facile de faire [le grand écart en l’air]. C’est plus simple au sol, mais sauter dans les airs et élever les jambes, ça prend plus qu’un grand écart. Ils dépassent largement les stades de flexibilité qu’on avait à l’époque.»

«C’est un véritable festival de sensations.»

6.    Le professeur Ashok Raina, chercheur en physique mathématique, est venu de Bombay spécialement pour voir Shen Yun à la Place des Arts de Montréal le 11 janvier.

  • Le professeur Ashok Raina à la Place des Arts de Montréal le 11 janvier (Nathalie Dieul/Epoch Times)

«Ça élève l’esprit. À la fin, on se sent transporté dans un état mental supérieur. Ça rend l’expérience véritablement extraordinaire. Dans un spectacle ordinaire, il est impossible de ressentir cela.»

«C’est une expérience inoubliable. Ce n’est pas un spectacle ordinaire […] La manière dont ils utilisent l’enthousiasme, c’est quelque chose qui émane des danseurs pour atteindre le public. C’est ce qui est vraiment extraordinaire.»

«[Shen Yun] nous nettoie aussi. On se débarrasse de quelque chose […] On se sent sans aucun doute mieux à la fin [du spectacle] qu’avant.»

7.    Ky Hebert des Alouettes a assisté à la dernière représentation de Shen Yun à Montréal le 11 janvier, en compagnie de sa copine Anneth Him. La star de football avait déjà vu un spectacle de Shen Yun en Ohio dans le passé.  

  • Kyries Hebert et sa copine Anneth Him à la Place des Arts de Montréal le 11 janvier (Mathieu Côté-Desjardins)

«J’ai un grand respect pour eux et pour les heures qu’ils doivent mettre afin de réussir un si haut niveau pendant aussi longtemps.»

«C’est très impressionnant. Ce n’est pas le genre de chose que je me vois faire ou être en mesure de faire.»

«Le message de vérité et de paix est quelque chose d’important et c’est quelque chose qui peut résonner partout dans le monde, ou du moins j’aimerais que ça soit le cas.»

«Je me sens bien, un sentiment de positivisme et d’excitation.»

8.    L’ancien président de la Commission scolaire des Navigateurs, Léopold Castonguay, a assisté à la dernière représentation de Shen Yun à Québec le 14 janvier.

  • Léopold Castonguay au Grand Théâtre de Québec le 14 janvier (NTD)

«Je trouve que c’est un spectacle que je souhaiterais voir dans toutes nos écoles. Plus d’art, plus de performance artistique et développer la persévérance pour arriver à des mouvements aussi parfaits.»

«Cohérence parfaite. La synchronisation est toujours présente. La musique est entraînante et c’est vraiment nous révéler une civilisation ancienne, mais qui a beaucoup à nous apprendre. […] Je suis enchanté.»