Les défections du PCC ont atteint les 5 millions
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Annonce des 5 millions de retraits du PCC au Trocadéro, Paris. Photo LGE（攝影: / 大紀元）
En 11 mois, depuis la publication en plusieurs langues par La Grande Époque des Neuf commentaires sur le Parti communiste, le nombre de défections du Parti communiste chinois a atteint les 5 millions.
Rappel des faits
Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) est arrivé au pouvoir en 1949 jusqu’à aujourd’hui, 65 à 80 millions de gens ont été tués des mains du PCC.
Sous le couvert de « réformes agraires » et de répression des « contre-révolutionnaires », les autorités chinoises ont tué 2,4 millions de personnes en deux ans, d’après les chiffres du Parti lui-même. Certains estiment que le chiffre réel est de 5 millions. En recourant à la violence, le Parti a atteint trois buts :
1)éradiquer les chefs de village qui ont été remplacés par des apparatchiks du Parti
2)confisquer les biens des victimes
3)maintenir les gens dans la crainte permanente du Parti
Dans l’objectif terriblement mal calculé de doubler la production d’acier en Chine, le Parti a transformé le pays en un immense camp de travaux forcés. Dans cet élan fanatique, il fallait que tous les Chinois prennent part à la production d’acier. Sans autre choix possible, les fermiers ont dû laisser leurs récoltes pourrir sur pied. Les responsables locaux ont rapporté de faux chiffres, faisant état d’une croissance de la production agricole pour inciter les gens à continuer sur leur lancée. Résultat : une famine qui a fait 30 millions de morts et une crise économique sans précédent. Le PCC a crié à la « catastrophe naturelle » ! Cependant aucune intempérie n’a été répertoriée durant ces deux années.
La Grande Révolution culturelle prolétaire visait à détruire la culture traditionnelle et les croyances chinoises ancestrales – rien de moins. La campagne a pris des proportions si démentes que des enfants en venaient à battre, voire tuer leurs parents, leurs professeurs, leurs grand-parents ; beaucoup les ont dénoncés aux autorités pour qu’ils soient torturés ou soumis à des humiliations publiques. Le fait de tuer était devenu un moyen de prouver son implication « révolutionnaire ». D’après le sinologue américain Kenneth Lieberthal : « le monde extérieur a pu entrevoir l’ampleur de ces horreurs, lorsque des cadavres ligotés, la plupart décapités, ont descendu la rivière des perles pour s’échouer à Hong Kong. »
Les dirigeants du PCC ont mis fin de manière sanglante aux mois de manifestations et de grève de la faim des étudiants sur la place Tiananmen. Ils ont ordonné aux militaires de prendre la place d’assaut. Les étudiants, sans armes, ont été fusillés et écrasés par les chars dans une tragédie sanglante. A ce jour, le PCC ne s’est toujours pas excusé et n’a toujours pas reconnu ses torts.
En juillet 1999, le président du Parti, à l’époque Jiang Zemin, furieux de voir le succès du Falun Gong, a ordonné « l’éradication » de ce groupe pacifique. La campagne qu’il a lancée a été comparée à la Révolution culturelle par beaucoup d’analystes dont le journaliste Willy Lam de CNN. A ce jour, 30 000 cas de tortures et de mauvais traitements ont pu être documentés, 3 millions de personnes sont toujours emprisonnées arbitrairement ou condamnées aux travaux forcés. Les femmes sont violées, contraintes d’avorter, soumises à des sévices sexuels par les autorités. Certains estiment que c’est la campagne de répression la plus étendue, la plus longue, la plus systématique et la plus coûteuse jamais organisée contre un groupe particulier en Chine.
