L’argile au service de la vie…

Écrit par Susiloo La Grande Époque Gouadeloupe
29.11.2006
  • (攝影: / 大紀元)

Grâce

au soleil, à l’air et à l’eau dont elle capte les principes vitaux, l’argile

constitue le plus puissant agent de régénération physique. C’est souvent aux

animaux que l’on doit la découverte des terres radioactives dont

ils usent largement en cas de blessures en se plongeant dans cette boue

bienfaitrice. Ses vertus conservent  des

indications autant en applications locales que par voie orale et elles sont

toutes entièrement fondées. C’est donc une thérapeutique naturelle très

efficace d’usage millénaire aux propriétés remarquables.

L’argile est

radioactive comme tous les corps. L’argile possède une des propriétés, celle de

stimuler la radioactivité des corps sur lesquels elle est appliquée si celle-ci

est déficitaire ou d’absorber celle en excès. Quand un organisme est irradié

par du radium ou autre source radioactive, l’argile imbibe, magnifie puis

absorbe ce composé radioactif. L’argile assure la protection de l’organisme

atteint par des radiations atomiques. Appliquée sur un organisme jamais traité

au radium ou aux rayons, l’argile est mal supportée et peut provoquer un état de surexcitation. C’est donc que

ses radiations ne s’harmonisent pas avec celles de l’utilisateur.

Il est probable qu’une

accoutumance progressive  s’installe,

dans ce cas il est préférable d’utiliser une autre argile et la tolérance

peut  se montrer immédiate.

L’argile est une

substance  vivante, c’est une force

intelligente, bienfaisante qu’il faut avoir expérimentée pour comprendre  l’ampleur de son action. Par exemple, une

plaie purulente traitée par l’argile se guérit à un rythme surprenant.

L’argile  s’utilise par voie interne, soit 

buccale, anale ou vaginale, elle se dirige vers le foyer maladif pour s’y fixer

parfois pendant plusieurs jours entraînant avec elle dans son évacuation pus,

sang noir, etc. Elle s’utilise aussi en voie externe par des applications, des

cataplasmes, des masques de beauté...

Son pouvoir absorbant

est extraordinaire, elle absorbe les impuretés et d’autres substances pouvant

être toxiques, elle est très utilisée pour éliminer le goût des huiles essentielles, pour traiter aussi la

margarine et lui donner ainsi la saveur du beurre.

Ce pouvoir absorbant

est très précieux en médecine, comme dans l’industrie pétrolière ou huilière.

Plusieurs siècles avant notre ère, les Chinois utilisaient certaines argiles

pour la décoloration des huiles grasses. Dans l’industrie pétrolière, le

« cracking catalytique » permet la transformation du gas-oil en

essence combustible liquide, puis en gaz polymérisable utilisé dans la

fabrication du caoutchouc synthétique et autres produits.

Une argile blanche, le

kaolin, est utilisée comme renforçante dans la fabrication du caoutchouc

naturel, de certains caoutchoucs synthétiques, de peintures antiacides, de

savons hydrocarburés… Elle oppose une remarquable résistance aux réactifs

chimiques dont seuls les plus puissants peuvent l’attaquer.

L’argile agit toujours,

plus ou moins selon le degré d’affinité. Ce n’est pas  à une substance inerte que nous avons à

faire, mais à la Vie. Si une argile peut paraître « inactive », dans

ce cas il est bon d’en utiliser une autre, de provenance ou de couleur

différente.

L’argile est une terre

grasse quand elle est humide et sur laquelle rien ne pousse. C’est la terre

glaise des modeleurs et des potiers. Elle peut être verte, rouge, blanche,

jaune, grise…

Chacune d’elles a ses

propres propriétés, il faut donc chercher celle qui convient le mieux à

l’affection traitée. Il est possible de s’en procurer chez les herboristes,

boutiques diététiques, il faut absolument veiller à ce qu’elle soit vierge,

n’ayant subi aucun traitement.

Plus l’argile est

exposée au  soleil, à l’air, à l’eau de

pluie, plus elle est « active », ce qui lui permet d’acquérir la

propriété d’absorber et d’emmagasiner l’énergie des éléments, notamment celle

du soleil. Ses particules infiniment petites constituent autant de

condensateurs capables de libérer l’énergie retenue à l’invitation d’un pôle

opposé.

Il convient de préciser

que si l’argile n’a aucune exposition prolongée à la lumière, elle possède tout

de même la plus grande partie de ses surprenantes propriétés.

L’argile est constituée

de silicate d’alumine au pouvoir cicatrisant, de chaux, de magnésie, du

sesquioxyde de fer, de silice, de titane, d’alumine, de calcium, de magnésium,

de sodium, de potassium, d’oxyde et du bioxyde de manganèse, oxygène, de

dioxyde de silicium et d’alumine. L’argile prise par voie buccale est bien

acceptée, ses bienfaits commencent à être reconnus. Elle est bactéricide et

rend neutre l’eau polluée. Les radiations négatives  sont attirés par l’argile, radiant vers le

positif. L’argile nettoie, purifie et enrichit tous les organes ainsi que le

sang qui la véhicule. L’argile ne doit en aucun cas être considérée  comme un remède anodin. Elle ne doit pas être

prise avec des médicaments pharmaceutiques (même homéopathiques).

Il est recommandé

d’éviter d’interrompre un traitement à l’argile, même provisoirement. L’argile

étant très « active », son application déclenche des phénomènes dans

l’organisme qui se répercutent en chaîne, il est essentiel de n’entreprendre

les applications que si l’on est certain de pouvoir les continuer.

L’argile a aussi une

grande utilité dans l’usage vétérinaire et l’usage agricole.

Pour savoir comment

utiliser l’argile : L’argile qui guérit de Raymond Dextreit et

 L’argile facile de Marie-France Muller sont deux livres qui vous

guideront.