Anglais | Chinois | Coréen | Français | Allemand | Espagnol | Japonais | Russe | Ukrainien | Hébreu | Roumain | Bulgare | Slovaque | Tchèque | Indonésien | Vietnamien
Faites un don

Héritage d’une technologie perdue (2e partie)

Écrit par Leonardo VIintini , La Grande Epoque Argentine.
07.12.2006
| A-/A+

 

Énergie nucléaire du passé ?

Armes à feu pendant la préhistoire ?

L’électricité avant le Christ ?

Alors que nous avons suivi la voie évolutive, certaines découvertes sur les origines de notre technologie se font de plus en plus impossibles. 

  • Miniature d’avion métallique (攝影: / 大紀元)

 

Selon la théorie de l’évolution des espèces, la lignée humaine suit un cheminement  plutôt curieux. Pour commencer, les plantes aquatiques se sont transformées en poissons, les animaux aquatiques sont sortis de l’eau et se sont transformés en animaux terrestres ; puis les animaux terrestres ont grimpé aux arbres, s’adaptant à une forme de vie arboricole et retournèrent finalement sur terre, se transformant en primates anthropoïdes, « singes » doté d’intelligence qui auraient donné naissance à notre espèce humaine. Cette genèse de l’homme moderne est largement acceptée dans le milieu scientifique et semble être confirmée par les études anthropologiques et génétiques modernes.

Cette théorie de l’évolution serait indiscutablement confirmée si ce n’est l’existence de centaines de découvertes apparemment isolées qui ne cadrent pas avec la grande mosaïque darwiniste.

Certaines de ces découvertes nous font nous interroger à juste titre sur la véritable origine de la technologie moderne, laquelle, ironiquement, nous aide actuellement à vérifier les profonds mystères de notre espèce et de notre science.

 

DECOUVERTE AU MUSEE DE BADGAD

Une vieille pile électrique datant de 2.000 ans, découverte à Bagdad, constitue un exemple de ces curiosités technologiques qui ne correspondent pas au plan darwiniste. Un archéologue australien l’a trouvée dans un musée, prenant soudainement conscience du phénomène. La pile, qui avait la forme d’un récipient en céramique jaune, contenait un cylindre en cuivre de 12 cm sur 4 cm.

Le cylindre présentait une soudure d’étain d’un mélange de 60/40 (comme celle que l’on utilise aujourd’hui pour souder) et le couvercle en cuivre était scellé au cylindre par une matière similaire à l’asphalte.

Un autre couvercle d’asphalte scellait la partie supérieure, maintenant une baguette de fer au centre du cylindre. La baguette avait clairement été rongée par un agent acide.

On a également trouvé dans le musée de Bagdad des vases de cuivre recouverts d’une fine couche d’argent datant de la même époque que la pile. Ce revêtement est pour les joailliers et les spécialistes en chimie typique d’un processus électrolytique qui aurait aussi pu être utilisé pour la pile électrique.

Ainsi, une reconstruction de la pile avec les mêmes matériaux que ceux découverts a démontré qu’il était possible de créer un voltage comparable à celui d’une pile moderne.

Mais qui, si tôt au cours de notre histoire, a maîtrisé le phénomène électrique ? La zone de recherche était, à cette époque-là, occupée par les Pharisiens. La technologie des piles électriques pourrait toutefois ne pas provenir de ce peuple : en Égypte, de nombreux objets ont été découverts, également recouverts d’une fine pellicule d’argent.

 

LE MECANISME D’ANTIKYTHERA

Si l’utilisation de l’électrolyse nous paraît étonnante pour l’époque, l’utilisation des engrenages avant l’ère chrétienne n’est pas un sujet plus facile à cerner, d’autant plus s’agissant d’un mécanisme aussi complexe que celui d’Antikythera. Cette montre astronomique a été trouvée au début du XXe siècle dans l’épave d’une galère grecque qui aurait fait naufrage 80 ans av. J.-C. Lors de la classification des différents objets trouvés dans le navire, un chercheur a analysé la complexité de l’appareil qui semblait fonctionner à partir de roues dentées.

Des analyses ultérieures ont montré qu’il portait différentes inscriptions telles que « Soleil », « Lune », et le nom de plusieurs astres zodiacaux. Un passage au rayons X a démontré que cet appareil était composé d’un ensemble de 32 engrenages parfaitement imbriqués et fonctionnels. La nouvelle a bouleversé le cercle scientifique. On en a conclu qu’il s’agissait d’un calendrier astronomique qui n’avait quasiment rien à envier à nos instruments modernes.

Le mécanisme d’Antikytera est resté une énigme historique sans explication scientifique. On a simplement pris la décision de le mettre à l’écart, comme une pièce qui ne s’encastre pas dans le grand puzzle de l’histoire conventionnelle.

Certains ont tenté d’expliquer l’anomalie, avançant qu’un navigateur contemporain avait sans doute jeté le mécanisme par dessus bord, aux alentours de la galère grecque. L’Équipe Cousteau a découvert d’autres restes d’engrenages de bronze dans la même zone. Ainsi, comment les Grecs auraient-ils pu obtenir des informations sur une technologie si avancée pour créer une telle relique ?

 

LE PILIER DE FER DE DELHI

La cour d’un temple à Delhi, en Inde, abrite une autre de ces curiosités. Il s’agit d’un pilier en alliage de fer qui a traversé 1.600 ans d’intempéries, sans aucune trace d’oxydation. Une analyse aux ultrasons a montré que la structure interne du pilier était composée de plusieurs disques de fer soudés entre eux. Comment  peut-on expliquer une telle capacité métallurgique il y a 1.600 ans ? En Europe, ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle qu’il a été possible de construire une pièce métallique d’une taille similaire.

 

ARMES A FEU AVANT L’HEURE ?

Aussi manque-t-on d’explications sur l’existence de divers crânes humains et animaux datant de près de 40.000 années et qui présentent ce qui semble être des trous de projectiles. Des experts en balistique ont été déconcertés face à la contradiction. Les trous sont propres et nets à la différence de ceux occasionnés par une blessure de lance ou un accident.

 

LE NUCLEAIRE AU TEMPS DE L’INDE ANTIQUE

A travers les chroniques, d’autres histoires incroyables tentent de redonner vie au savoir de nos ancêtres. 

Le Mahabharata, livre sacré de l’Inde, relate dans un passage : « Un unique projectile investi de tout le pouvoir de l’Univers […], une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi brillante que 10.000 soleils, s’éleva dans toute sa splendeur… c’était une arme inconnue, un rayon de fer, un gigantesque messager de la mort qui a réduit en cendres une race entière ». [...] « Les cadavres étaient si brûlés qu’ils étaient méconnaissables. Ils perdirent leurs cheveux et leurs ongles, la céramique se fendait sans raison apparente et les oiseaux devinrent blanc ».

L’hypothèse selon laquelle ce texte décrirait une explosion nucléaire pourrait, de façon catégorique, être taxée de subjectivité, si ce n’est la découverte dans une ville hindoue du Rajasthan d’une zone de 8 km_ recouverte d’une grande couche de cendres radioactives. L’intensité de la radiation rend la zone encore inhabitable. En plus du Mahabharata, il existe de nombreux textes hindous sacrés qui narrent l’existence d’armes balayant des armées entières comme des feuilles.

Aussi existe-t-il, dès que nous les observons avec soin, des centaines d’objets très anciens qui font penser à la technique moderne.

 

DROLES D’OISEAU DE L’EGYPTE ANTIQUE

Cinq ans avant que les frères Wright aient réalisé leur premier vol, on déterra en Egypte un avion de bois de 2.200 ans d’ancienneté.

Comme à cette époque-là, l’idée même des avions était encore méconnue, les archéologues pensèrent qu’il s’agissait de l’imitation d’un oiseau. Des objets métalliques similaires ont été retrouvés en divers endroits en Amérique précolombienne. Dans le monde entier, des peintures rupestres dépeignent ce qui semble avoir été une ère féconde de vaisseaux volants.

Ces découvertes – qui ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres – nous forcent à douter et à constamment reformuler les bases sur lesquelles moultes recherches étaient fondées. Si nous ne prenons en compte qu’un certain nombre d’études pour étayer les fondements de nos théories et laissons de côté un grand nombre d’éléments, pouvons-nous dire que cette théorie ou cette autre se confirme chaque fois plus ? ou sommes-nous en train de n’intégrer que les éléments qui coïncident avec les théories que nous considérons comme les plus rationnelles afin de les conforter et simplement évincer ceux qui ne correspondent pas ?

Tandis qu’une histoire nous parle d’une évolution linéaire et croissante, une autre expose l’existence de très nombreuses civilisations qui se seraient autodétruites les unes après les autres au moment même où elles avaient atteint leur sommet technologique. A la lumière impartiale de la science, nos textes d’enseignement ne devraient-ils pas laisser, pour le moins, un espace pour le doute et la réflexion ?

 

 

Plus de 204 720 056 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.