L’impatiens fait partie de la famille de la « solitude ». C’est aussi une fleur de personnalité.En effet, des « impatients » nous en avons tous autour de nous. Nous pouvons par exemple les reconnaître facilement dans les bouchons. Ces personnes gesticulent et klaxonnent. Elles ne peuvent s’empêcher de finir les phrases des autres. Il faut que tout aille vite. C’est une véritable épreuve pour elles que de travailler avec des personnes lentes. D’ailleurs, elles préfèrent être seules pour réfléchir et faire les choses à leur propre rythme. Elles ont un esprit vif. Quand elles sont malades, il leur faut être vite rétabli. Elles peuvent aussi avoir des accès de colères qui se dissipent très rapidement car elles sont facilement irritables. L’élixir va apporter un peu de calme. 

Elles seront toujours spontanées mais les actions seront pondérées.

La patience prendra place avec peut être un certain relâchement au

début. Il y aura moins de tension et une compréhension accrue à l’égard

des plus lents. Une phrase que l’on peut leur dédier : « Tout vient à

point qui sait attendre ». « Tant que notre âme et notre personnalité

sont en harmonie, tout est joie et paix, bonheur et santé. Le conflit

surgit quand notre personnalité s’écarte de la voix tracée par l’Ame,

soit par l’entraînement de nos propres passions, soit par la persuasion

des autres. Ce conflit est la cause profonde de la maladie et de

l’insatisfaction. » (Extrait du livre La guérison par les fleurs du Dr

Edward Bach).

Le Dr Bach, comme vous l’avez compris,

s’intéresse donc aux causes, aux pourquoi et non aux maladies. Les

élixirs agissent donc uniquement sur les émotions. Dans notre univers

moderne, l’agitation, le stress, la fatigue, la compétition sont le lot

quotidien de bon nombre d’entre nous. Si nous prenons conscience que

ces phénomènes nous éloignent de ce que nous sommes intrinsèquement,

nous faisons là un pas important pour notre devenir. Si nous commençons

par nous observer, nous nous donnons la possibilité de prévenir la

maladie et de préserver notre équilibre. Le Dr Bach disait : « la

prévention et la guérison de la maladie peuvent s’obtenir en découvrant

le défaut qui est en nous et en développant la vertu opposée qui le

détruira, non pas en luttant contre celui-ci, mais en cultivant en nous

les vertus opposées de telle sorte que le défaut disparaîtra de notre

nature. »

Si vous désirez des renseignements complémentaires ou des conseils, vous pouvez écrire à l'auteur : e.daum@wanadoo.fr