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L'atrocité de Sujiatun nous pousse à la démission du Parti communiste chinois (PCC)

Écrit par M. Wang pour La Grande Epoque
16.04.2006
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  • Le défilé u00ab PCC Plus Jamais » à Paris en juillet 2005. Photo LGE(攝影: / 大紀元)

J'ai observé les autres membres du PCC démissionner pendant un certain temps sans m’impliquer davantage car je craignais d’être persécuté. J’avais aussi peur pour la sécurité de ma famille et le futur de nos enfants. Bien que la constitution du PCC déclare que les membres sont libres pour se retirer du Parti, en réalité ce n'est pas ainsi. En Chine, la vie d'un individu est contrôlée par des établissements. Si vous allez à l’encontre du Parti, alors vous perdrez votre travail, votre maison, votre sécurité sociale et votre retraite. C'est typique en Chine, car le Parti communiste commande tout, y compris votre naissance et votre mort.

Il y a un mois, j’ai appris la tragédie de Sujiatun et j’étais furieux. Il n’est pas convenable de décrire ces persécuteurs comme voleurs ou des animaux. Même les voleurs suivent un certain code de conduite. Il est encore bien plus inapproprié de les appeler des animaux. J'aime les animaux ; ils sont plutôt adorables et au pire, s’ils attaquent au plus faible, c’est par nécessité alimentaire. Comment peuvent ils être comparés aux membres pervers du PCC ! Le crime de Sujiatun est pire que l’horreur du nazisme allemand et de l'impérialisme japonais. En outre, il y a beaucoup d'autres camps d'extermination en Chine comme celui de Sujiatun.

Les nouvelles horribles de Sujiatun m’obligent à cesser d'être un observateur. Mon épouse Xiao Liu et moi déclarons notre démission de la Ligue Communiste de la Jeunesse, des Jeunes Pionniers et du syndicat contrôlé par le PCC.

M. Wang et Xiao Liu

Chine

Avril 8, 2006

Version anglaise disponible ici.

Version chinoise disponible ici.

Plus de 204 720 056 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.