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Le monde secret des plantes

Écrit par Radio Son de l'Espoir
02.09.2007
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  • Les plantes éprouvent-elles des émotions ?(攝影: / 大紀元)

Les plantes ont des émotions !

En effet, de nombreuses observations réalisées dans plusieurs pays ont révélé un monde inconnu et mystérieux dans lequel les plantes souffrent, éprouvent des émotions, lisent la pensée humaine, et tentent de communiquer avec nous.

Expérience clé: la plante se sent menacée

L’événement qui semble avoir contribué plus que d’autres au renouveau d’intérêt que porte la science moderne à ce monde mystérieux s’est produit à New York en 1966. C’est dans les bureaux d’un expert de la détection du mensonge, que Cleve Backster, consultant auprès de la police new-yorkaise a fait une étonnante découverte grâce à son appareil. L’un des paramètres dont tient compte la détection du mensonge est la résistance galvanique de la peau (galvanisme : action des courants électriques continus sur les organes vivants). Un jour, par impulsion, ou curiosité intellectuelle, Backster a placé les électrodes de son détecteur de mensonge sur une feuille de dragonnier, ou dracaena, une plante d’appartement que sa secrétaire avait achetée. Puis, il l’a arrosée la plante.

Il s’attendait à ce que le galvanomètre (à la suite d’une teneur d’eau accrue) indique une résistance plus faible au courant électrique (c’est-à-dire que lorsque l’humidité parviendrait entre les électrodes, une baisse de résistance s’inscrirait sur le graphique), mais le contraire s’est produit. Perplexe, Backster s’est alors demandé ce qui se passerait si la plante «souffrait» ou se sentait menacée. Il a décidé de brûler une feuille sur laquelle il avait placé les électrodes. Alors qu’il visualisait la scène, et avant même d’avoir extrait le briquet de sa poche, l’aiguille enregistreuse s’est soudainement agitée, indiquant une conductivité superficielle accrue. Pas un mot, pas un geste, pas un contact avec l’appareillage, la seule chose qui avait pu stimuler la plante était son image mentale. Le tracé graphique de la réponse de la plante lui rappelait curieusement celui d’un homme à qui l’on pose une question piège ou que l’on menace.

Cleve Backster a déclaré dans une interview par Derrick Jensen publiée dans Sun Magazine de juillet 1997 : «J’ai compris à l’instant qu’il se passait quelque chose d’important ; il n’y avait pas d’autre explication. Il n’y avait plus personne dans l’immeuble, ni dans le laboratoire, et je n’avais rien produit qui soit assimilable à une action mécanique. En une fraction de seconde, la conscience que j’avais du monde a été modifiée. L’ensemble de mon processus de pensée ainsi que mon système de valeurs, ont désormais été orientés vers cette recherche».

Selon lui, les plantes seraient capables de télépathie, c’est-à-dire de «lire» les pensées des autres êtres vivants dans leur environnement proche. Ses découvertes ont été décrites par Peter Tomkins et Christopher Bird, un biologiste dans le livre intitulé La vie secrète des plantes, publié en 1973 aux éditions Robert Laffont.

Les plantes ont une mémoire

Backster a continué ses recherches. L’une des expériences particulièrement spectaculaires, à laquelle ont participé quelques agents de la police new-yorkaise, semblait montrer que les plantes ont également une mémoire.

Six sujets, les yeux bandés, ont tiré d’un chapeau un papier plié. Sur l’un des papiers était rédigé l’ordre d’arracher et de détruire l’une des deux plantes se trouvant dans une pièce. Le crime était ensuite perpétré en secret, sans que ni les sujets, ni Backster lui-même, ne sachent qui était le coupable ; le seul témoin était l’autre plante, celle qui n’était pas détruite.

Ensuite, on fixait des électrodes sur la plante témoin, et les suspects défilaient devant elle un à un. On observait alors que lorsque le coupable s’approchait, l’aiguille du galvanomètre s’affolait. De deux choses l’une : ou bien la plante «reconnaissait» celui qui avait tué l’un des siens, ou bien elle percevait, par une sorte de télépathie, la culpabilité que l’on essayait de dissimuler. En tout cas, le criminel était démasqué.

Lors d’une autre expérience, qui a été plusieurs fois répétée devant des jurys scientifiques, Backster réussissait à transformer une plante en détecteur de mensonge. Des électrodes étaient placées sur une plante, et un homme – sans électrode – s’asseyait devant elle. Backster disait à l’homme qu’il allait lui citer une série d’années en lui demandant si elles correspondaient à sa date de naissance, et qu’il fallait toujours répondre «non». Invariablement, Backster pouvait deviner l’année de naissance qui correspondait sur le graphique à une courbe galvanique bien marquée.

Les plantes et plus généralement les cellules vivantes semblent être douées d’une faculté de perception extrasensorielle, phénomène inconnu auparavant. D’autres expérimentations viennent alimenter cette théorie.

Une autre expérience, réalisée par Backster pour éliminer tout facteur humain et subjectif, consistait à placer dans une pièce close quelques crevettes vivantes sur un plateau basculant. Lorsque le plateau basculait (en l’absence de toute intervention humaine) les crevettes tombaient dans une casserole d’eau bouillante. Dans une chambre voisine, close également, une plante branchée sur galvanomètre émettait au moment de la mort des crevettes un tracé soudainement turbulent.

Le tracé était différent de celui qui enregistrait une émotion, et Backster s’est demandé s’il ne correspondait pas à une sorte de perception par un groupe de cellules de la mort d’un autre groupe de cellules. De nouvelles expériences lui ont permis d’établir que la même forme de réaction se retrouvait lors de la mort «perçue» par la plante, de bactéries, levures, cultures diverses, amibes, cellules sanguines et spermatozoïdes.

Cette dernière expérience rappelle celle de chercheurs soviétiques qui ont démontré que des cellules vivantes pouvaient «communiquer» à travers une paroi de quartz. En fait, les auteurs ont remarqué que ces communications ne semblaient pas se faire par l’intermédiaire d’ondes électromagnétiques, car elles ne sont interrompues ni par une cage de Faraday (cage à paroi conductrice qui isole éléctriquement les corps placés à l’intérieur), ni par une paroi de plomb.

 

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Des cellules qui communiquent entre elles

Les Soviétiques ont été les premiers à inculquer à des plantes des réactions conditionnées quasiment pavloviennes. Une équipe de chercheurs à l’université d’Alma Ata, dans le Kazakhstan, a ainsi appris à un philodendron à se méfier d’une certaine roche minéralisée, en soumettant la plante à diverses tortures (comme des brûlures, coupures ou chocs électriques) chaque fois que la roche en question était placée à côté d’elle. Au bout d’un certain temps, la plante «s’affolait» dès que l’on plaçait cette roche dans son voisinage – mais n’avait aucune réaction galvanique si l’on y substituait une autre roche, ne contenant pas de filon métallique. Il était alors possible d’envisager, d’après les chercheurs soviétiques, que les plantes puissent un jour être utilisées pour la prospection géologique.

Un psychologue moscovite, le professeur V.N. Pouchkine, et son collaborateur V.M. Fetisov, ont vérifié avec soin les expériences de Backster, et ont plus ou moins tiré les mêmes conclusions. Pouchkine et Fetisov ont réalisé l’expérience de la perception des émotions par une plante grâce à l’intermédiaire d’une jeune fille que l’on hypnotisait, lui suggérant divers états d’esprit. «Nous obtenions une réaction électrique, grâce à un encéphalographe branché sur un géranium en pot, à chaque émotion que nous suggérions».

Le géranium pouvait aussi «détecter le mensonge» et deviner sans difficulté un nombre entre 1 et 10 choisi par la jeune fille.

En tentant d’expliquer ce qui se passait, Pouchkine écrit : «Il se peut qu’il existe un lien entre les deux systèmes d’information, les cellules de la plante et les cellules nerveuses. Le langage de la cellule de la plante peut être en rapport avec celui de la cellule nerveuse. Ainsi deux types de cellules totalement différentes les unes des autres peuvent «se comprendre».

Lors d’une réunion à l’institut de Médecine clinique et expérimentale de Novossibirks en Sibérie occidentale, le Dr S.P. Shchurin et deux de ses collaborateurs de l’institut d’Automation et d’Électronique ont été recompensés par l’État pour leur découverte de «conversation» entre deux groupes de cellules humaines, chacune des cultures étant placée dans une boîte de quartz complètement hermétique. Alors que le premier groupe était infecté par un virus, le second semblait éprouver les mêmes symptômes. De même, les deux cultures étaient tuées lorsqu’une seule était soumise à une dose mortelle de poison ou de radiation.

Un mystère: la nature du canal télépathique par lequel correspondent les cellules

Les plantes, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, manifestent également un certain éclectisme musical.

Les Aborigènes d’Australie auraient également un grand savoir en la matière. L’influence de la musique sur les plantes commence maintenant à être reconnue par la communauté scientifique, qui prolonge petit à petit la tradition. Dans Les langages secrets de la nature, Jean-Marie Pelt consacre un chapitre aux rapports entre la musique et les plantes et affirme, après avoir effectué des expériences, que les plantes sont effectivement sensibles à certaines mélodies.

Si ces témoignages laissent certains scientifiques rêveurs, les industriels, eux, n’hésitent pas à les mettre en pratique. C’est ainsi qu’au Japon, la société Gomei-kaisha Takada a déposé un brevet en 1991 sur l’utilisation de certaines musiques censées améliorer la fermentation des levures employées pour la fabrication de sauce soja et de la célèbre pâte miso.

Plusieurs expériences dans ce domaine ont été réalisées avec une rigueur toute scientifique par une musicienne de Denver, Dorothy Retallack, en collaboration avec un professeur de biologie, Francis F. Broman. Trois «chambres environnementales» chacune de 20 mètres de long, 6 mètres de large et 9 mètres de haut, permettant un contrôle précis de la lumière, de l’humidité et de la température, étaient utilisées dans une expérience sur des philodendrons, des radis, du maïs, des géranium et des violettes africaines, ainsi que d’autres variétés de plantes. Toutes les plantes étaient placées dans des conditions identiques, si ce n’est qu’une chambre expérimentale était totalement silencieuse, une autre contenait un haut-parleur émettant de la musique classique, et une troisième, de la musique «rock».

On constatait – sans pouvoir expliquer le phénomène – que les plantes dans la seconde chambre poussaient en se penchant vers la source de musique classique, alors que celles dans la troisième se penchaient dans la direction opposée, comme si elles tentaient de fuir la musique moderne.

Un approfondissement de ces connaissances nouvelles pourrait, pensent-ils, donner lieu à des applications pratiques extraordinaires. Par exemple, puisque les communications qui ont été constatées ne se font pas par l’intermédiaire de rayonnements connus ou d’ondes électromagnétiques, sont-elles assujetties à la limite de la vitesse de la lumière ou sont-elles instantanées, reflétant une sorte d’équilibre permanent existant dans la nature ?

Selon le Dr Hashimoto, qui dirige un centre de recherches électroniques ainsi que les services de recherche de l’importante société industrielle Fuji Electronics Industries, il y aurait, au-delà du monde tri-dimensionnel que nous connaissons, un monde à quatre dimensions, non matériel et dominé par l’esprit. C’est dans ce monde-là que les plantes, et toutes les créatures vivantes, seraient en communication entre elles...

Plusieurs questions viennent alors à l’esprit : quels sont les organes sensoriels et les centres de réponses émotionnels des plantes ? Où est leur cerveau ? 

Jason Pomerleau, assistant scientifique à la LifeCell Corporation apporte une réponse. «Chez les plantes, les vaisseaux du xylème sont des cellules mortes qui forment des tubes creux comme de la paille pour transporter l’eau et les minéraux des racines aux feuilles. Les vaisseaux du phloème transportent les nutriments entre les feuilles et les racines et composent le système nerveux de la plante, qui, à la différence de notre système nerveux humain centralisé, est étalé dans tout le corps de la plante».

 

Plus de 204 720 056 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.