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M. Lin, un expatrié: 'Il y a de l'espoir'

Écrit par Kati Turcu, La Grande Époque
11.04.2008
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  • Lin Liren(攝影: / 大紀元)

 

MELBOURNE, Australie – Alors que la Divine Performing Arts achève sa troisième représentation samedi soir, à Melbourne, en Australie, elle continue d'impressionner les Chinois d'outremer. 

M. Lin Liren de Taiwan, s'est senti très chanceux ce soir de pouvoir assister au spectacle. Ayant manqué le spectacle au Japon, où il en  a entendu parler  pour la première fois, M. Lin a finalement pu voir le spectacle à Melbourne. Il pense que c'était le destin. 

M. Lin est arrivé en Australie alors qu'il avait huit ans et il n'a pas appris grand-chose de la culture chinoise. En grandissant, il  s'est rendu compte qu'il y avait de profondes significations dans la culture traditionnelle chinoise. Il a aussi été très fier lorsqu'il s'est rendu compte que tant de Chinois d'outremer  défendaient et  répandaient la culture traditionnelle chinoise. 

"La représentation de la Divine Performing Arts fait que nous, Chinois d'outremer, retrouvons nos racines et elle permet également à davantage de gens de voir et de connaître la vaste et profonde culture traditionnelle chinoise, et cela leur fait aussi sentir qu'il y a de l'espoir là-bas" a dit M. Lin. 

La scène qui l'a le plus impressionnée était  Les Fruits de la Bonté. "Les gens peuvent voir la tolérance et la compassion de l'école de Bouddha et comment ces deux mauvais jeunes hommes sont à nouveau devenus bons."

 

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