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En bref

Écrit par INSERM
03.04.2008
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  • (攝影: / 大紀元)

L’IMPACT SUR LA SANTE DES NANOTECHNOLOGIES SUSCITE DES INQUIETUDES

Lors du séminaire annuel de l’Observatoire des micro et nanotechnologies (OMNT), Daniel Bloch, médecin du travail au CEA, a lancé un cri d’alarme relatif aux risques pour la santé humaine liés au développement de nouvelles nanoparticules: « plus la matière est coupée en petits morceaux, plus elle est réactive et donc dangereuse. » D’après des travaux réalisés par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), les nanoparticules pénètrent plus facilement dans les poumons, la peau et sans doute également dans le cerveau, que les particules plus grosses. À des concentrations élevées, elles peuvent provoquer un stress oxydant, donc des inflammations. Selon Yves Bottero, directeur du (Cerege), elles pourraient avoir des effets sur la biodiversité, en entraînant « une altération masquée de l’ADN sur le long terme ».

 

UN NOUVEAU TRAITEMENT DE L’OSTEOPOROSE

Une étude clinique pilotée par le groupe pharmaceutique Novartis a montré l’efficacité d’un nouveau traitement de l’ostéoporose. Celui-ci consiste dans l’injection annuelle d’un médicament contenant une molécule de la famille des bisphosphonates. La perfusion dure de quinze à vingt minutes et nécessite une demi-journée d’hospitalisation en ambulatoire. Cette méthode a notamment permis de réduire de 70 % le nombre de fractures vertébrales et de 41 % celui de fractures du col du fémur. Le médicament, qui a reçu une autorisation de mise sur le marché, sera commercialisé dans quelques mois.

Plus de 204 720 056 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.