Anglais | Chinois | Coréen | Français | Allemand | Espagnol | Japonais | Russe | Ukrainien | Hébreu | Roumain | Bulgare | Slovaque | Tchèque | Indonésien | Vietnamien
Faites un don

Divine Performing Arts à Montréal vendredi

Écrit par Jason Loftus et Matthew Little, La Grande Époque - Toronto
12.01.2009
| A-/A+

 

  • Une danseuse incarne une fée céleste (攝影: / 大紀元)

Avant son arrivée à Montréal vendredi prochain, le spectacle de la compagnie artistique Divine Performing Arts (DPA) continue sa tournée au Canada. Après Ottawa et Waterloo, c’est devant le public torontois que la compagnie new-yorkaise s’est produite. Loin de laisser indifférent, la production a charmé même les spectateurs œuvrant dans le domaine artistique.

Compositeur de renom

M. Wilkins, un compositeur et arrangeur de renom ayant travaillé avec des artistes comme Céline Dion, Michael Jackson et Anne Murray, était profondément touché par le spectacle après avoir assisté à la représentation de vendredi dernier au John Bassett Theatre, dans la métropole canadienne.

«La danse, les costumes, la musique, tout était magnifique! J’étais particulièrement intéressé parce que je suis musicien. C’est agréable de constater qu’ils ont réussi à fusionner les instruments occidentaux et chinois», considère M. Wilkins qui est aussi récipiendaire de l’Ordre du Canada, la distinction civile la plus élevée au pays.

«J’étais tout ouïe afin d’essayer de comprendre ce qu’ils jouaient. C’était une bonne idée de faire entendre le son émis par chacun des différents types d’instruments lors de leur présentation. J’ai pu les visualiser un peu plus. Après, il y a eu ce solo d’erhu que j’ai vraiment apprécié», raconte-t-il.

L’erhu est un instrument chinois à deux cordes comparable au violon. Il émet un son envoûtant avec sa gamme impressionnante.

M. Wilkins est devenu musicien professionnel dès l’âge de vingt ans.

«J’ai eu la chance de pouvoir vivre de la musique surtout en faisant des arrangements, en composant la musique de film et en jouant du saxophone dans des orchestres. Alors, quand j’ai la chance d’entendre le son d’autres cultures, c’est toujours intéressant de tendre l’oreille pour faire la comparaison», révèle l’artiste.

M. Wilkins estime que la musique du spectacle était inspirante et qu’on pourrait peut-être en trouver des traces dans ses compositions futures.

Réalisateur nominé au Gemini

Lorsque M. Ken Gord, nominé au Gemini, a assisté à un spectacle de la compagnie artistique new-yorkaise pour la première fois en septembre, il a affirmé que ce n’était pas du tout ennuyeux et qu’il reviendrait avec son neveu.

À la première du spectacle le 9 janvier, il a emmené son neveu de six ans né de parents chinois et canadiens pour assister à la tournée internationale 2009 de la Divine Performing Arts au John Bassett Theatre.

«C’était aussi bon que la dernière fois», a-t-il déclaré à l’entracte.

M. Gord a particulièrement apprécié les percussionnistes de Dragon Springs pour leur «énergie». Dans ce numéro, les danseurs exécutent des mouvements acrobatiques et donnent vie à l’allégresse des cultures folkloriques chinoises en dansant avec des petits tambours octogonaux.

En tant que réalisateur et producteur, M. Gord souligne la qualité de l’écran de fond servant de décor sur lequel il y a des projections en mouvement.

«Ça aurait pu être seulement une dimension, mais l’écran amène une dimension additionnelle, ce qui est bien.» M. Gord fait aussi savoir que les projections, tout comme l’ensemble du spectacle, ont évidement nécessité de gros efforts de production.

Il avait également un mot pour ceux qui pensent assister au spectacle de la Divine Performing Arts pour la première fois.

«Je dirais que tout y est. Vous avez de la musique, de la danse et une bonne énergie. C’est visuellement très beau avec ces superbes costumes. Vous ne pouvez pas vous tromper!»

La Grande Époque est un fier partenaire de la tournée internationale 2009 de la compagnie Divine Performing Arts.

Plus de 204 720 362 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.