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Rien ne sert de reculer en immobilier

Écrit par Adam Miller, La Grande Époque
30.10.2009
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  • Adam Miller(攝影: / 大紀元)

J'aide les gens à vendre et à acheter des maisons. Au fil du temps, j'ai remarqué un phénomène : peu importe si la transaction a été un succès ou pas, lorsque l'on évalue un achat après coup, on tend à avoir une perception négative des évènements.

Il est approprié de dire qu'il ne faut pas trop analyser le résultat d’une transaction dans le domaine de l'immobilier. Nous devrions plutôt faire confiance au fait que chaque évènement a ses raisons et que personne ne peut rembobiner pour réarranger des évènements passés.

Il est normal de se rappeler de situations qui ne nous ont pas été tout à fait favorables, espérant un dénouement différent. Voici quelques exemples de personnes ayant eu des regrets alors que tout s’était bien terminé.

Une fois, je représentais un acheteur qui avait fixé son prix d'offre pour une maison. Il trouvait que son offre était juste et s'attendait à ce que le vendeur vienne avec une contre-offre plus élevée. Lorsque le vendeur a accepté son offre immédiatement, l'acheteur était heureux... au début. Ensuite, il se demandait s'il avait fait une offre trop élevée trop rapidement, et s'est dit qu'il aurait pu offrir un prix plus bas. En bout de ligne, tout a bien fonctionné. Mais c'est un parfait exemple où le recul peut empêcher de voir le côté positif de la chose.

Il existe des situations semblables pour des vendeurs. Disons qu'un vendeur investit de l'argent et des efforts dans la vente de sa maison. Il s'occupe de la rénovation et des appareils mécaniques, il retouche la peinture et améliore certains aspects visuels pour ensuite afficher la maison à un prix compétitif dans un marché local. À l'intérieur de deux jours, il reçoit une offre au prix demandé et met la maison sous contrat. Une semaine plus tard, alors que la poussière retombe, il se fixe sur l'idée qu'il aurait dû afficher un prix plus élevé.

Le fait est que rien ne garantit que les choses se seraient mieux déroulées si l’offre de l'acheteur avait été moindre ou si le vendeur avait demandé plus. La chaîne d'évènements au complet aurait pu être différente. En fin de compte, la personne impliquée n'aurait-elle pas pris du recul de toute manière, regrettant un autre aspect de la vente?

Prendre de bonnes décisions et y rester fidèle est un principe de vie saine. Dans une transaction en immobilier ou dans n'importe quel scénario, avoir des doutes et analyser les évènements sont des blocages inutiles au sens inné de confiance en la vie.

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