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Pourquoi un traitement contre le H1N1 tombe-t-il dans les oubliettes?

Écrit par Docteur W. Gifford-Jones
24.12.2009
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  • dr klenner(攝影: / 大紀元)

Récemment, on pouvait lire dans la presse ce titre : « les chercheurs estiment que les médicaments communs et bon marché peuvent aider des patients atteint par le H1N1.» Certains experts viraux se demandent si les médicaments contre le cholestérol, et des stéroïdes pourraient soigner les patients gravement atteints par le H1N1.

 

Si ces chercheurs avaient étudié l'histoire, ils sauraient comment le Docteur Frederick R. Klenner a sauvé bon nombre de patients atteints par d'autres infections virales mortelles.

Dans The Clinical Guide to the Use of Vitamin C, le Docteur Lendon Smith décrit en détails les expériences cliniques du docteur Frederick R. Klenner. Ce dernier a guéri plusieurs personnes touchées par des maladies virales à l’aide de doses massives de vitamine C. Quand on lit ces rapports, il devient difficile de comprendre pourquoi cette recherche est tombée dans les oubliettes.

 

Les recherches d’un médecin de famille

Il y a cinquante-six ans, durant six semaines, un garçon de 7 ans a subit les attaques de la grippe. Il avait été traité avec des sulfamides, de la pénicilline et 5000 à 10 000 milligrammes de vitamine C par voie orale. Mais soudainement il a été en état de coma.

Le Docteur Klenner lui a rapidement donné une injection intraveineuse de 6000 milligrammes de vitamine C. Cinq minutes plus tard, le garçon était éveillé et a demandé : « qu'est-il arrivé ? » Il a reçu trois nouvelles injections de vitamine C toutes les six heures et s'est entièrement remis dans  les 24 heures. Le patient était le fils de docteur Klenner.

 

Le Docteur Frederick R. Klenner était médecin de famille dans la Caroline du Nord et faisait des recherches. En 1949, il a informé l'Association Médicale américaine de ces importantes découvertes. Pendant l'épidémie de poliomyélite, il avait guéri la totalité des 60 patients dont il avait eu la charge et qui souffraient de cette maladie, en utilisant des doses massives de vitamine C, parfois jusqu’à 300 000 milligrammes quotidiennement. Aucun de ses patients n’a manifesté des signes de paralysie et pourtant encore aujourd’hui, personne ne semble l'avoir écouté.

 

Cette fameuse année, j'ai aussi développé la poliomyélite, c’était ma dernière année en faculté de médecine de Harvard. Aucun de mes distingués professeurs n'a jamais abordé l'utilisation de la vitamine C dans le traitement des maladies virales. Pour autant que je le sache, 60 ans plus tard, ni eux ni d'autres médecins n’utilisent cette méthode.

 

En février 1948, Docteur Klenner a publié dans Southern Medicine and Surgery son étude menée sur 42 cas de pneumonie virale traitée par la vitamine C, alors que d'autres médecins utilisaient des rayons X comme thérapie ! Son traitement était de 1000 milligramme de vitamine C toutes les six heures en cas de toux. Trois à sept injections étaient nécessaire pour un rétablissement complet. En 1951, dans le même journal, il a annoncé que la vitamine C pouvait guérir la rougeole et la varicelle en 24 heures.

 

En juin 1957, dans le journal the Tri-State Medical, Klenner explique sa théorie qu'il a appelé « le virus insidieux. » Il y décrit le cas d'un bébé de 19 mois qui a eu un petit refroidissement pendant deux semaines. Alors soudainement, au lieu d’une amélioration, l'enfant est devenu froid au toucher et semi-comateux; ses bras et ses jambes se sont paralysés.

 

Il reçu une injection de 2000 milligrammes de vitamine C lors de son admission à l'hôpital et 1000 milligrammes de plus, une heure plus tard. Puis on lui a donné oralement toutes les quatre heures 1000 milligramme. En huit heures, le bébé a commencé à se remettre et sa paralysie a disparu. On lui a donné de la pénicilline pour le prémunir d’une infection bactérienne. Le bébé est rentré à la maison cinq jours plus tard.

 

Un message simple

Le docteur Klenner a également parlé, du cas d'un homme qui avait contracté une hépatite en Amérique Centrale. Il était aigri, avait une forte fièvre et son foie avait grossi. Il fut traité avec de la vitamine C à haute dose en intraveineuse pendant plusieurs jours. Au septième jour, les tests sur le fonctionnement de son foie étaient normaux. Il a ensuite bénéficié d’un traitement oral de vitamine C. Il n’a pas eu de rechute. D'autres patients souffrant de l'hépatite chronique ont dû suivre durant plusieurs semaines une cure de vitamine C.

 

Aujourd'hui, des gens meurent du virus H1N1. Je me demande évidemment combien de vies auraient pu être sauvées grâce à de grandes doses de vitamine C ?

Le message du docteur Klenner était simple. Si une infection sérieuse est présente, mais que la cause est inconnue, les médecins devraient prescrire de fortes doses de vitamine C tandis qu'ils déterminent leur diagnostic.

De même qu'une faible dose de morphine n'arrêtera pas une douleur cancéreuse, une faible dose de vitamine C n’arrêtera pas une maladie virale. Mais y a-t-il des médecins traitant des patients avec des complications dues au virus N1H1 qui sont enclins à prescrire d’importantes doses de

vitamine C ?

 

Version anglaise

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