Docteur d’Etat en sciences physiques : « Nous sommes en train de revivre les danses très anciennes »

Écrit par Hanna L.Szmytko, La Grande Époque
01.03.2009

  • Dr Claudia Stubentauch (d), accompagnée de son amie Anina Maarek (G). (Hanna L.Szmytko/La Grande Époque)(攝影: / 大紀元)

Claudia Stubenrauch, docteur d’Etat en sciences physiques, chercheur au Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS et de l’Ecole Polytechnique, est venue voir la représentation de la Divine Performing Arts le dimanche 1er mars 2009. Elle a déjà assisté au spectacle il y a deux ans et elle est revenue cette année spécialement pour admirer les danses traditionnelles chinoises. «Je suis très contente que le spectacle Divine Performing Arts fasse revivre les danses très anciennes, c’est bien de remontrer cela », a-t-elle dit.

«J’ai apprécié qu’il y avait de nouvelles danses ethniques cette année. C’est très intéressant ! Je m’intéresse à toutes les danses des différents pays. Je trouve que la danse est une autre manière de découvrir et de comprendre un pays. Si l’on ne connaît pas la langue, la danse permet de comprendre l’âme du pays ».

«Mon travail est très prenant en tant que chercheur, il me faut quelque chose qui me change complètement les idées », a expliqué Dr Stubenrauch.  « J’ai moi-même suivi différents stages de danses traditionnelles. La danse entraîne tout d’abord le corps. Cela donne une certaine discipline et c’est justement la contrainte de la recherche. Cela permet également de vivre les émotions ».

Dr Stubenrauch a particulièrement apprécié la danse à l’éventail et la danse aux manches fluides où « tout est très gracieux ». « J’ai aussi bien aimé la danse sur les montagnes enneigées du Tibet », a-t-elle ajouté. « Cela m’a fait rappeler mon séjour dans le Sichuan il y a trois ans où j’ai eu l’occasion de voir un spectacle à la frontière tibétaine ».

Dr Stubenrauch espère revenir voir le spectacle de la Divine Performing Arts l’année prochaine pour découvrir de nouvelles danses folkloriques chinoises.