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Des exercices pour éviter les complications chez les futures mamans

Écrit par James et Kimberly Goodlatte Nelli
20.04.2009
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  • enceinte exercice(攝影: /

réduire pour  vous-même et votre bébé le risque d’une intervention? Dans le monde de la maternité, il semble qu’une mère enceinte ait peu de contrôle sur son accouchement et l'état de son bébé quand il vient au monde. Vous allez découvrir que vous pouvez avoir plus de pouvoir que vous ne le pensez.

Aujourd'hui, les maternités ressemblent souvent à un atelier de réparation, plein de dispositifs et de procédures visant à «aider» à accoucher alors que les femmes ont été conçues pour le faire naturellement. Vous connaissez déjà certains outils et techniques qu’utilisent les médecins pour aider un bébé à venir monde:

• Le forceps est une pince qui met une grande partie de la traction sur le cou et de la colonne vertébrale du bébé afin de tirer le bébé ce qui peut provoquer certaines contusions.

• La ventouse qui se fixe à la tête du bébé et l’aspire le sommet de la tête. Le médecin tire et tire sur la tête du bébé.

• L’épisiotomie Selon «The Revised Edition of Natural Childbirth the Bradley Way», est une entaille faite au bistouri entre le vagin et l'anus. C’est l'intervention chirurgicale la plus commune réalisée aux États-Unis aujourd'hui.

• la césarienne est plus généralement utilisée lorsque le bébé se présente par le siège, lors d’une pré-éclampsie, lors d’une détresse fœtale, lorsque les contractions utérines productives n’existent pas, lorsque la dilatation ne se fait plus,  lorsque la tête du bébé est trop grande ou lorsqu’il s’agit de jumeaux.

Toutes ces techniques font peser une menace pour vous et votre bébé. Que diriez-vous de pouvoir réduire les risques de subir ces interventions? Le Dr James Clapp et madame Helen Varney, sage-femme certifiée sont deux personnalités spécialisées dans les exercices et la grossesse. Leur rapport démontre que l'exercice réduit de manière significative les besoins d'intervention médicale lors de la grossesse et de l’accouchement.

 Les études du Dr. Clapp démontrent que chez les mères qui ont pratiqué les exercices on note une baisse de 50%  des interventions dues à des anomalies fœtales tel que la faiblesse du rythme cardiaque, la présence de méconium dans le placenta ou l'enchevêtrement du cordon. Cela évite aussi souvent l’utilisation d’un forceps ou d’une ventouse, la pratique de l'épisiotomie ou de la césarienne.

Madame Helen Varney Yale enseigne aux étudiants en soins infirmiers que ce genre d’anomalies est rencontré moins fréquemment pour tous les bébés dont les mères se sont exercées. Le Dr. Clapp ajoute une étonnante statistique; «Simplement par la pratique d’exercices, on peut réduire de 75 % les risques d'une intervention par forceps ou autre». La probabilité que votre médecin effectue une épisiotomie diminue de 55 %. Les exercices permettent de réduire notablement le stress de l’accouchement pour vous et votre bébé.

Diminuer les risques de la césarienne

Dans le manuel  des sages-femmes de madame Varney, une étude a confirmé que les exercices pour les femmes enceintes diminuent par quatre fois et demie les risques d’une césarienne et pour les femmes sédentaires une diminution de 75 %. C'est-à-dire que le risque d’une césarienne passe de un sur trois à un sur douze seulement en pratiquant les exercices. Chez une femme sédentaire le travail prendra plus de temps et la fatigue arrive plus vite que chez une maman qui s’exerce Cela préoccupe le corps médical.

À mesure que le travail s'éternise, le médecin va provoquer l’accouchement. Le Pitocin comme les autres médicaments utilisés pour accélérer et renforcer les contractions ne tiennent pas compte du travail naturel de votre organisme et la force des contractions provoque une intensification de la douleur. Cette souffrance difficilement supportable sera rapidement soulagée par une péridurale. Ce processus entraine un manque de contrôle et la femme sans méfiance se dirige vers la césarienne. Mais le Dr. Clapp rapporte que selon son expérience un seul exercice diminue de 50 % le besoin de provoquer l’accouchement. Il est donc possible d’éviter la césarienne par le biais de l'exercice.

Madame Varney explique qu’en pratiquant des exercices les futures mamans en bonne santé ont diminué le risque d’une hypertension, d’une hyperglycémie ou d’un diabète gestationnel. En outre, les femmes qui font de l’exercice ont des grossesses qui arrivent plus facilement à terme dans les temps. Ce fait permet de diminuer les risques de césarienne.

Une autre complication qui peut être évitée est la naissance prématurée. Madame Varney rapporte qu’il ya une diminution du risque d'accouchement prématuré spontané chez les femmes qui font des exercices. Cela éloigne le risque que votre bébé reste en couveuse pendant des semaines ou des mois sans vous, en soins intensifs.

Comment s’exercer pour diminuer les interventions

Pratiquement, quel que soit le type d'exercice que vous effectuiez, votre récompense sera d’avoir            diminué les risques d’une intervention. La préparation à la grossesse et l'accouchement peuvent être multiples, y compris le travail sur la respiration, l'équilibre, la posture et la souplesse. Démarrez votre programme d'exercice dès maintenant! Il semble que les femmes enceintes puissent vraiment faire quelque chose pour contrôler les conséquences de leur accouchement.

Pour plus d'informations sur la façon de réduire les complications pendant la grossesse, avec Kim et James FitForBirth@gmail.com. Vous pouvez également visiter leur site web SecretsofPainlessChildbirth.com

 

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