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Prédestinés au-delà de trois vies

Écrit par Clartés et Sagesse
29.04.2009
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  • montagne eau(攝影: / 大紀元)

Sous la dynastie Tang (618-907) de l’ancienne Chine, il y avait un moine de haut rang du nom de Yuanze qui avait un bon ami du nom de Li Yuanshan. Un jour, ils partirent faire une balade, ils appréciaient la beauté du paysage tout en parlant et en riant. Dans l’après-midi, ils passèrent près d’un endroit où une femme était en train de laver des vêtements au bord de la rivière. Elle était enceinte et son ventre était volumineux. Moine Yuanze la vit, soupira et secoua sa tête. Li Yuanshan lui demanda : «Pourquoi as-tu secoué la tête?»

Moine Yuanze répondit : «Cela fait trois ans qu’elle est enceinte, attendant que je me réincarne pour être son fils. J’ai évité de la rencontrer mais maintenant je ne peux plus lui échapper.» Li Yuanshan ne le crut pas : «Vraiment?»

Moine Yuanze dit : «Il me semble que tu ne me crois pas. J’atteindrai le nirvana ce soir. Après trois jours, viens chez cette femme, car celle doit mettre au monde un garçon potelé. Si ce bébé te sourit, alors il se pourrait que ce soit moi qui te souris.» Moine Yuanze dit aussi à Li Yuanshan : «Tu es un bon ami et je voudrais que dans ma prochaine vie nous soyons encore amis. Planifions que dans treize ans, lors du Festival de la mi-automne, je t’attendrai au Temple de Tiantu dans la ville de Hangzhou, nous nous rencontrerons à nouveau à cet endroit

Li Yuanshan répondit dubitativement : «D’accord, je serai là-bas selon tes instructions

Moine Yuanze atteignit bien le nirvana cette nuit-là, et la femme donna naissance à un garçon.

Le troisième jour, Li Yuanshan arriva chez la femme. Le bébé lui sourit aussitôt qu’il le vit. Il devait croire que ce qu’avait dit moine Yuanze était vrai.

Le treizième Festival de la mi-automne, Li Yuanshan se rendit au Temple de Tiantu dans la ville de Hangzhou tel que promis afin de rencontrer moine Yuanze. En arrivant à la porte, il vit un garçon, assis sur le dos d’un buffle, qui chantait :

«Je suis un vieil esprit assis au sommet du rocher des Trois Vies,

Mais je ne suis pas ici pour admirer la Lune ou chanter des poèmes

Je suis intimidé par la visite de mon vieil ami venant de très loin,

Je suis toujours le même vieux moi, seul mon corps a changé

Le dicton «Prédestinés au-delà de trois vies» vient de cette histoire. La culture chinoise, qui a de riches fondements historiques, a été léguée par les dieux. Les mots que nous utilisons souvent peuvent avoir de profondes significations. Puisque les gens ont graduellement dévié des principes de l’univers, leur vertu a dégénéré de plus en plus, maintenant ils n’ont qu’une compréhension superficielle des vieux dictons. En fait, les «trois vies» mentionnées ici font référence à l’existence précédente, la présente et la future. Cette expression concerne des gens qui ont des relations prédestinées spéciales.

 

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