Durement frappée par le virus de Wuhan, Porto, la grande ville du nord du Portugal, s’est insurgée lundi contre un projet des autorités de la Santé de ceinturer cette commune de plus de 200.000 habitants d’un cordon sanitaire.
Selon le dernier bilan publié lundi, Porto était la commune du Portugal la plus touchée avec 941 cas officiellement déclarés, suivie de Lisbonne avec 633 cas.
La directrice générale de la santé, Graça Freitas, a évoqué lors d’un point presse depuis la capitale Lisbonne, l’idée d’un « cordon sanitaire » à Porto en affirmant qu’« il y aura probablement une décision en ce sens ».
« Si cette mesure inutile et déplacée était prise, elle rendrait impossible le fonctionnement des services de base de la ville », comme la collecte de déchets par des travailleurs venus d’autres communes ou l’approvisionnement de deux hôpitaux de la région, a déclaré la municipalité dans un communiqué.
Pour la mairie de Porto, la mise en place d’un cordon sanitaire serait « absurde à un moment où l’épidémie de Covid-19 s’est généralisée dans les communautés de toute la région et du pays » dans son ensemble.
« Par conséquent, la mairie de Porto cesse de reconnaître l’autorité de la directrice générale de la santé, considérant ses déclarations d’aujourd’hui un lapsus certainement provoqué par la fatigue », a-t-elle ironisé.
Le Portugal, qui dénombrait lundi 140 morts et 6.400 cas officiellement déclarés de contagion par le virus de PCC, a décrété d’importantes mesures de confinement pour freiner la pandémie. Mais, jusqu’ici, seule la commune d’Ovar (nord) était totalement bouclée par un cordon sanitaire pour contenir un important foyer de propagation.
Epoch Times fait référence au nouveau coronavirus causant la maladie du COVID-19 comme étant le virus du parti communiste chinois, parce que la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
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