PARIS – Pour son retour à Paris le 4 mai 2018, Shen Yun a marqué d’un point de couleur et de vie l’Ouest de la ville-lumière, dont les quartiers Est restent assombris par les fumées des incendies déclenchés par les militants d’extrême-gauche, le 1er mai. Face à cette image d’un monde matérialiste et déconnecté du divin dans lequel la destruction est un moyen d’expression comme un autre, les artistes de Shen Yun ont, une nouvelle fois, montré au public une autre voie, pacifique et éclairée par des millénaires de tradition culturelle.
Le Dr Géraldine Guironnet, responsable de recherche clinique dans une grande entreprise pharmaceutique historiquement très impliquée dans la lutte contre les maladies infectieuses, semble avoir choisi de voir Shen Yun comme un médicament pour lutter contre cette épidémie de pensée négative. Et, dès l’entracte, le traitement montre son efficacité : « J’ai adoré, j’ai vraiment adoré. Ce spectacle est envoûtant, il est magique, il a un côté esthétique qui est juste incroyable, avec l’aide des couleurs et de l’arrière-plan. Je suis emballée ! Puis la musique est merveilleuse, vraiment ! Je suis très sensible à la musique et je trouve que c’est… c’est vraiment très beau, très très beau ! »
Ayant bien retenu, grâce aux deux présentateurs, que le mot « Shen » de Shen Yun signifie « divin », le Dr Guironnet comprend que le spectacle est « l’expression de la divinité à travers la danse ». « Quand on touche à l’art », explique-t-elle, « on touche au divin, on l’exprime d’une manière… de haut niveau. »
Les spectateurs à venir pour les prochaines représentations de Shen Yun à Paris, puis à Aix-en-Provence, auront droit à une appréciation du spectacle qui vaut prescription médicale : « C’est exceptionnel, vraiment exceptionnel. »