Quand Jean-Claude Tremblay et Monique Bouchard se sont mariés en 1968, ils ne pensaient pas que la bague de fiançailles qui avait coûté plusieurs semaines de salaire au jeune homme allait être perdue peu de temps après, et ils s’attendaient ensuite encore moins à la revoir un jour.
Pourtant, quand leur fils Serge a voulu faire des petites réparations à la maison familiale avec sa pelle ronde, il est tombé sur une bague en ce mois de décembre 2018, dans la petite ville de Baie-Saint-Paul dans l’est du Québec.
« Mes parents m’avaient déjà dit qu’ils avaient perdu une bague », a expliqué le fils du couple au Journal de Montréal. « C’est sûr que j’y ai pensé. Je la monte dans la maison. C’était la bague, c’était elle, c’était la bonne ! »
En effet, c’était bien la fameuse bague, celle-là même qui avait coûté 300 $ en 1968 à Jean-Claude, alors qu’il ne gagnait que 50 $ par semaine. « C’était un gros achat, mais je savais que c’était la bonne », a-t-il confié à CIHO.
« Après toutes ces années, on ne pensait plus à ça. On est surpris, elle est pratiquement intacte », s’étonne M. Tremblay. La seule différence est que la bague a perdu son diamant, ce à quoi le mari a décidé de remédier prochainement en en faisant poser un nouveau.
Après avoir fêté leurs 50 ans de mariage le 6 juillet dernier, Jean-Claude et Monique ne pouvaient pas espérer mieux. La découverte faite par le fils du couple juste avant Noël tombait à pic, l’anniversaire de la dame étant… le 25 décembre. La magie de Noël a bien opéré cette année !
Vous avez apprécié cet article ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous vos commentaires.
Après leur 75e anniversaire de mariage,
ce couple meurt dans les bras l’un de l’autre à quelques heures d’intervalle
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.