En villégiature sur la Côte-d’Azur, la jeune femme originaire de San Francisco avait loué un studio à Cannes.
Vendredi dernier, un Tunisien comparaissait devant la cour d’assises des Alpes-Maritimes pour le viol d’une touriste américaine en vacances à Cannes.
Originaire de San Francisco, la jeune femme étudiait en Suède lorsqu’elle a décidé de passer quelques jours sur la Côte-d’Azur.
Après avoir pris possession du studio qu’elle avait loué pour l’occasion, elle décide de sortir fumer une cigarette et se promener dans les rues de la ville.
Mais lorsqu’elle rentre chez elle, la touriste américaine ne parvient pas à ouvrir la porte du studio. Un voisin lui offre son aide sans que la serrure ne cède. Il lui propose alors de l’héberger dans son appartement, où résident deux autres hommes, pour la nuit. Elle accepte.
Six ans de prison pour le viol d’une touriste américaine à Cannes https://t.co/b6nbiOax1k
— 20 Minutes (@20Minutes) October 7, 2019
Une peine inférieure aux réquisitions du ministère public
La jeune femme accusera par la suite Ghazi G. de l’avoir violée. Pendant son procès, l’accusé a affirmé qu’il s’agissait au contraire d’une « relation entre adultes consentants », rapporte Nice-Matin.
Si l’avocat général Alain Guimbard avait requis une peine de douze ans d’emprisonnement, le prévenu a finalement été condamné à six ans de prison le 4 octobre, après deux jours de débats.
Il dispose de 10 jours pour interjeter appel à compter du prononcé du jugement.
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