En allant déposer son sac-poubelle dans son bac noir, situé sur le chemin privé de sa propriété, un habitant de Fouquebrune (Charente) a découvert quelque chose d’étrange dans sa poubelle : un pack de bière contenant un sac de plastique. À l’intérieur de ce dernier : huit chiots morts encore tièdes, avec du sang sur la tête et la bouche.
« On a regardé s’il y en avait un encore vivant, mais non, ils étaient tous morts, aucun ne respirait… », explique Émilie, la compagne du Charentais qui a fait la découverte, au quotidien Charente Libre.
« On pense qu’ils ont été frappés, ils ont du sang sur la tête et sur la bouche. Ils étaient tièdes. Cela ne faisait pas longtemps qu’ils étaient morts », se désole-t-elle.
L’homme a rapporté à la maison la boîte contenant les petits cadavres, qui mesuraient entre 20 et 30 cm. Le couple les a ensuite enterrés dans le jardin, afin de leur offrir « une meilleure fin que dans une poubelle ».
Émilie a publié des photos sur les réseaux sociaux pour lancer un appel à témoins, relayé par les internautes. Elle a également prévenu le maire de Fouquebrune.
« Aujourd’hui, révoltés que nous sommes, nous cherchons l’ignoble abruti (le terme est plutôt gentil) qui boit de la Leffe du côté de Fouquebrune et qui n’aime pas les chiots !!! », lance la page Facebook Latente Chibre qui a relayé l’appel à témoins.
La macabre découverte a été réalisée vers 14 h 30 dimanche après-midi, près du lieu-dit La Motte. Le pack de bière contenant les malheureux chiots était de marque Leffe.
« Ce qui est étonnant, c’est que notre poubelle n’est pas au bord de la route, mais sur notre chemin privé », questionne Émilie, encore sous le choc.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.