Une chatte censée avoir été euthanasiée, retrouvée vivante par sa propriétaire dans le Var

Par Léonard Plantain
5 octobre 2022 14:34 Mis à jour: 5 octobre 2022 15:20

Au mois de mai, Macha, une petite chatte de deux ans, a été officiellement euthanasiée dans une clinique vétérinaire d’Hyères dans le Var après avoir été renversée par une voiture. Cependant, quelques mois plus tard, sa propriétaire a découvert une photo de Macha sur Instagram, bien en vie, et adoptée par une autre famille.

Une histoire improbable mais vraie. En mai dernier, après un accident de voiture, Macha, une petite chatte de deux ans, a dû être euthanasiée. Un moment difficile pour sa famille, qui s’est résignée à la laisser dans une clinique vétérinaire d’Hyères après lui avoir dit au revoir une dernière fois.

Cependant, deux mois plus tard, Sophie, la fille de cette famille, est tombée sur une publication Instagram avec la photo d’une chatte ressemblant trait pour trait à Macha. Dans cette publication, une dame expliquait avoir perdu son chat sur la commune d’Hyères, a rapporté France Bleu.

Intriguée, Sophie a contacté la dame pour en savoir plus. Elle a alors appris qu’elle avait adopté cette petite chatte « il y a peu de temps dans une clinique vétérinaire d’Hyères ». La dame a ensuite précisé que cette chatte avait été abandonnée par une famille après un grave accident de voiture. Pour eux, cela ne faisait aucun doute, c’était bien leur Macha.

Sans attendre, la vétérinaire en question a été contactée. À leur grande surprise, celle-ci a expliqué qu’elle n’avait pas osé les recontacter pour leur annoncer que leur chatte allait finalement mieux, car elle a supposé que leur deuil était déjà passé. Elle a donc remis Macha en adoption.

Depuis, la famille a déclaré s’être sentie « trahie » par leur vétérinaire, qui n’a donné que des explications « floues » pour justifier son geste. Toutefois, la famille n’a pas souhaité déposer plainte, a rapporté BFMTV. En échange, ils se sont mis d’accord afin que la vétérinaire soigne gracieusement Macha jusqu’à la fin de ses jours.

« Ce qu’elle ne peut pas rembourser, c’est la peine qu’on a éprouvée quand il a fallu la faire piquer et ensuite. Cela a été très dur pour nous », a conclu Sophie.

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