Plus d’une centaines de détenus volontaires rémunérés vont fabriquer des masques dans plusieurs prisons de France.
Depuis la prison, « participer à l’effort collectif » contre le coronavirus : des détenus de huit établissements pénitentiaires vont fabriquer des masques afin de fournir des soignants et les différents services du ministère de la Justice.
Depuis le 18 mars, les prisons françaises sont sous cloche pour lutter contre la propagation du virus du PCC : plus de parloir, plus d’intervenant extérieur pour les 70 000 détenus français. Mais certains ont repris le travail fin mars.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.
? Prisons : Les détenus fabriquent des masques pour les soignants et les surveillants pénitentiaires https://t.co/CeHH1l0oBi
— ACTU Pénitentiaire (@actupenit) April 1, 2020
140 détenus volontaires et payés
L’atelier de la prison d’Arles ne fabrique plus d’uniforme pour l’administration pénitentiaire mais des masques. Tout comme l’établissement pénitentiaire de Moulins. Depuis lundi, le centre pénitentiaire pour femmes de Rennes, ainsi que la prison de Val-de-Reuil se sont également mis à la confection de masques.
Les établissements de Saint-Martin-de-Ré, Valence, Muret, Châteauroux, qui avaient pour la plupart déjà un atelier de confection, vont s’y mettre d’ici à la semaine prochaine. Au total 140 détenus, tous volontaires et payés, sont mobilisés, explique Albin Heuman, directeur de l’agence du travail d’intérêt général et de l’insertion professionnelle des personnes placées sous main de justice.
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