Coronavirus: un jeune de 18 ans viole 12 fois le confinement, il va comparaître devant le tribunal

Par Nathalie Dieul
26 mars 2020 15:41 Mis à jour: 26 mars 2020 19:26

Verbalisé à 11 reprises depuis le début du confinement à cause du virus de Wuhan, un jeune de 18 ans de Nangis, en Seine-et-Marne, a été contrôlé pour la douzième fois par les gendarmes qui l’ont placé en garde à vue en attendant sa comparution au tribunal. Il risque une peine de prison.

En une semaine seulement, ce jeune homme a accumulé pour 1 485 € de contraventions (à 135 € chaque) pour « mise en danger de la vie d’autrui », indique Le Parisien. Après sa 11e sortie non autorisée, il a été placé en garde à vue lundi 23 mars par les gendarmes qui pensaient que cela lui servirait de leçon.

« En fait, on l’a de nouveau interpellé ce mardi 24 mars », a déclaré à Actu.fr un gendarme de la compagnie de Provins. « C’est quelqu’un qui se moque complètement des mesures de restrictions ! »

La France est en confinement depuis le 17 mars à cause de la pandémie du virus du PCC, qui s’est répandu sur tout le territoire. Il est donc impératif de rester chez soi afin d’éviter tout risque de contaminer davantage de personnes, en particulier la population à risque.

* Epoch Times désigne le nouveau coronavirus, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti Communiste Chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale

Après sa deuxième garde à vue, l’individu, qui n’a pas de casier judiciaire, a été relâché avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Melun. Il encourt une lourde amende ainsi qu’une peine de prison.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.