Les autorités sanitaires belges considèrent que les séjours à l’étranger sont un important facteur de risque de propagation du virus dans le royaume.
Le ministère belge des Affaires étrangères a ajouté Paris à sa liste des destinations européennes qui ne sont plus autorisées, à moins de se soumettre au retour à un dépistage du coronavirus et à une période d’isolement.
Ont été ajoutés le mercredi 26 août les départements limitrophes de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, ainsi que ceux de la Sarthe (centre-ouest), de l’Hérault et des Alpes-Maritimes (sud), selon le site du ministère.
La Roumanie, certaines régions bulgares et croates, une grande partie de l’Espagne et trois départements français (Bouches-du-Rhône, Guyane, Mayotte) étaient déjà classés en « zone rouge ».
Connu communément comme le nouveau coronavirus et responsable de la maladie infectieuse respiratoire appelée Covid-19, le virus du PCC s’est déclaré à Wuhan, en Chine, vers le mois de novembre. Il s’est répandu dans le monde entier à cause du Parti communiste chinois (PCC) qui a tout fait pour le dissimuler.
Coronavirus et voyage : la Belgique place Paris en « zone rouge » @echotouristique https://t.co/ac8KXXowkH
— L’Echo Touristique (@echotouristique) August 27, 2020
« CORONAVIRUS : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR »
Contaminations en baisse en Belgique
Les autorités sanitaires belges considèrent que les séjours à l’étranger sont un important facteur de risque de propagation du virus du PCC dans le royaume, où les nouvelles contaminations (moins de 500 par jour) sont de nouveau orientées à la baisse après une recrudescence en juillet-août.
En août, 22% des personnes testées positives revenaient d’un voyage, selon des chiffres communiqués mercredi par l’institut scientifique de santé publique Sciensano.
En outre, à Bruxelles ce mois-ci, seule une minorité (40%) de voyageurs revenant de zone rouge a accepté de se soumettre à un dépistage pourtant théoriquement obligatoire, a rapporté l’agence de presse Belga.
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