La Chine a refusé à plusieurs reprises la demande de l’Organisation mondiale de la santé de participer aux enquêtes sur les origines du virus du PCC*, a déclaré récemment le représentant de l’OMS en Chine à Sky News.
« Nous savons qu’une enquête nationale est en cours mais à ce stade, nous n’avons pas été invités à la rejoindre », a déclaré le Dr Gauden Galea, représentant de l’OMS en Chine.
« L’OMS a fait des demandes à la commission de la santé et aux autorités », a-t-il déclaré. « Les origines du virus sont très importantes, l’interface animal-humain est extrêmement importante et doit être étudiée. »
Dr Gauden Galea, WHO representative in China, has told @SkyNews that the World Health Organization has so far not been invited to take part in China’s investigation into the origins of the coronavirus. pic.twitter.com/1oolqqheSi
— Global Vision (@GlobalVision_UK) May 1, 2020
Le Dr Galea a également déclaré sur Sky News que l’OMS n’avait pas été en mesure d’enquêter sur les deux laboratoires virologiques de Wuhan, le Wuhan Institute of Virology et le Wuhan CDC.
« D’après toutes les preuves disponibles, les membres de l’OMS sont convaincus que les origines se trouvent à Wuhan et qu’il s’agit d’un virus naturel et non fabriqué », a-t-il déclaré.
CORONAVIRUS: CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR
Le Dr Galea a défendu le rôle de l’OMS en remettant en question les chiffres donnés par le régime chinois au début de l’épidémie. Du 3 janvier au 16 janvier, les responsables de Wuhan n’ont signalé aucun nouveau cas de coronavirus au-delà des 41 déjà publiés. « Est-il probable qu’il n’y a eu que 41 cas pour cette période? Je ne pense pas », a déclaré le Dr Galea à Sky News.
La question centrale de l’épidémie dans les premiers stables était de savoir si la transmission pouvait être inter-humaine – une caractéristique qui le rendrait beaucoup plus susceptible de se propager largement que si l’infection reposait sur une contamination directe avec la source d’origine.
L’OMS est critiquée aujourd’hui pour un tweet qu’elle a publié le 14 janvier, affirmant que « les enquêtes préliminaires menées par les autorités chinoises n’ont trouvé aucune preuve claire d’une transmission interhumaine » en reprenant sans vérifier les informations données par le régime chinois. Le même jour, à Genève, un fonctionnaire de l’OMS a déclaré que la transmission interhumaine avait été « limitée », laissant ainsi circuler librement le virus pour devenir la pandémie mondiale d’aujourd’hui.
*Epoch Times désigne le nouveau coronavirus, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti Communiste Chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
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