Le risque de la vaccination contre le Covid-19 est supérieur à son bénéfice pour les enfants, a assuré le 23 mai le candidat Debout la France (DLF) à la présidentielle Nicolas Dupont-Aignan, alors que le gouvernement étudie cette possibilité.
« Il est grave de faire croire aux Français que le vaccin est la seule solution », a insisté lors de l’émission Dimanche en Politique sur France 3 M. Dupont-Aignan, qui se défend d’être anti-vaccin.
La vaccination des enfants à partir de l’âge de 12 ans sera « peut-être » proposée en France à terme, a expliqué lundi le ministre de la Santé Olivier Véran, tout en soulignant la priorité donnée à la vaccination en cours des adultes.
« Chez les jeunes ou enfants, la balance bénéfice risque du vaccin est largement en faveur du risque. Offrons plutôt la vaccination à ceux qui le souhaitent et en ont vraiment besoin et arrêtons de mettre tous les œufs dans le même panier en négligeant les traitements » #DimPol
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) May 23, 2021
À ses yeux, « pour un enfant ou un jeune qui n’a aucun risque de mourir de la Covid, l’ivermectine, qui est refusée dans notre pays alors même qu’elle marche ailleurs, serait quelque chose de beaucoup plus doux, de plus utile que cette vaccination à outrance qui n’est pas faite pour ceux qui en ont besoin. On est en plein délire ! »
Raoult ne lâche rien sur l’HCQ et l’ivermectine et il a raison ! Soignons avec des médicaments connus et dont l’innocuité est avérée par des années de recul. La société de la consommation et de l’obsolescence ne marche pas pour les médicaments : seule leur efficacité compte ! pic.twitter.com/tcR8nQ6RvD
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) April 3, 2021
Nicolas Dupont-Aignan n’est pas le seul défenseur de l’ivermectine. D’autres personnalités politiques comme Florian Philippot (Les Patriotes) et François Asselineau (UPR) soutiennent l’utilisation de ce médicament, relayant sur Twitter le hashtag #BebraveWHO (soyez courageux à l’OMS) afin d’inviter l’Organisation mondiale de la santé à autoriser l’ivermectine.
L’Agence française du médicament (ANSM) a rejeté en avril une demande d’autorisation temporaire d’utiliser l’ivermectine pour traiter ou prévenir le virus du Covid-19 causé par le PCC (Parti communiste chinois).
En Europe, la Slovaquie et la République tchèque ont accordé une autorisation d’utilisation provisoire de l’ivermectine contre le Covid-19.
Le produit est déjà largement administré depuis un an en Bolivie, au Guatemala, au Honduras ainsi qu’au Mexique, en Inde et en Afrique du Sud.
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