L’Australie a connu une surmortalité à la suite de la vaccination contre le Covid-19, les autorités faisant état d’un nombre élevé d’effets indésirables chez les vaccinés, selon une récente étude qui préconise de suspendre la vaccination.
Après le début de la pandémie de Covid-19, les vaccins à ARNm ont été introduits dans de nombreux pays, conjugués à de strictes mesures sanitaires.
« Toutefois, en Australie, le phénomène s’est produit à l’inverse. Les mesures de confinement et la vaccination ont précédé la principale [vague] de pandémie », indique l’étude, qui a été publiée dans le numéro de janvier 2024 de la revue Pathology. Elle n’a pas fait l’objet d’un examen par les pairs.
« Les campagnes australiennes de vaccination contre le Covid-19 ont commencé en mars 2021, avant la pandémie, peu avant la surmortalité, qui, elle, a commencé en mai 2021. »
« En Australie, la plupart des décès dus au Covid-19 sont survenus entre septembre 2021 et septembre 2022. »
En 2020, moins de 1000 décès dus au Covid-19 ont été signalés dans le pays. Un an plus tard, en 2021, seuls quelque 1300 décès dus au Covid ont été signalés.
Cependant, en 2021, plus de 10.000 décès [toutes causes confondues] ont été enregistrés.
« Par conséquent, environ 90% de la surmortalité est attribuable à des décès non liés au Covid », concluent les chercheurs.
L’étude cite un rapport annuel de 2021 de l’organe de surveillance de la sécurité des vaccins en Australie occidentale (Western Australia Vaccine Safety Surveillance, WAVSS) selon lequel, pour cet État, des effets indésirables de la vaccination contre le Covid-19 ont été observés dans une proportion de 264,1 cas pour 100.000 doses, cette année-là. Ce chiffre est plus de 23 fois supérieur aux effets indésirables observés pour les autres vaccins, qui sont de 11,1 cas pour 100.000 doses.
En 2021, l’organe de surveillance a reçu 10.726 signalements d’effets indésirables liés à la vaccination, contre seulement 270 signalements l’année précédente. Sur ce total, 10.428 signalements, soit 97%, sont survenus après la vaccination contre le Covid-19, indique le rapport.
Le taux d’effets indésirables le plus élevé a été enregistré pour le vaccin AstraZeneca, avec 306,1 cas pour 100.000 doses, suivis de taux de 281,4 cas et de 244,8 cas pour 100.000 doses, pour les vaccins Moderna et Pfizer, respectivement.
Les chercheurs soulignent que l’Australie n’a confirmé que quelques décès dus au vaccin contre le Covid-19, malgré le nombre élevé de signalements.
La Therapeutic Goods Administration (TGA) du pays, qui légifère la sécurité des produits thérapeutiques dont l’utilisation est approuvée en Australie, a recensé 14 décès liés à la vaccination contre le Covid-19.
Cependant, la base de données des notifications d’événements indésirables de la TGA fait état de 983 décès au total, soit 70 fois plus. La TGA déclare que seuls 14 décès ont été déterminés comme étant liés à la vaccination [contre le Covid], après la « réception et l’examen » des 983 rapports de décès.
Les auteurs de l’étude insistent sur le fait que « pour la vaste majorité de la population, ni le risque ni le coût ne peuvent justifier l’usage de ces produits ».
« La rapidité et l’ampleur du développement, de la production et de la distribution de ces nouveaux produits pharmaceutiques sont sans précédent dans l’histoire. Les principaux essais cliniques de phase III de ces produits ne sont pas encore terminés, et pourtant ils sont administrés à des milliards de personnes », écrivent-ils.
« Nous devrions faire une pause, réfléchir et réaffirmer les libertés fondamentales, saluer la fin de la pandémie de Covid-19, embrasser l’immunité naturelle et lever toutes les obligations de traitement médical. »
Les chercheurs n’ont déclaré aucun conflit d’intérêt dans l’étude.
Effets indésirables liés aux vaccins dans le monde
L’étude détaille également les effets indésirables et les décès liés aux vaccins Covid-19 survenus dans le monde. Elle cite des recherches menées par vaersanalysis.info qui montrent que la base de données américaine du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (Vaccine Adverse Events Reporting System, VAERS) a enregistré 35.911 décès liés à la vaccination contre le Covid-19, entre décembre 2020 et le 11 août 2023.
Ce chiffre est plus de trois fois supérieur au nombre total de décès liés à tous les autres vaccins combinés entre 1990 et le 11 août 2023, qui s’élevait à 10.386 décès.
Le nombre de décès par million de doses de vaccin contre le Covid-19 entre 2020 et le 11 août 2023 s’élève à 25,93, ce qui est bien plus élevé que les décès dus aux autres vaccins survenus entre 2006 et 2009. Le vaccin arrivé en deuxième position a enregistré moins de quatre décès par million de doses.
Les chercheurs ont qualifié de « particulièrement préoccupante » la myocardite, c’est-à-dire l’inflammation d’un muscle cardiaque, chez des personnes jeunes et en bonne santé.
En Thaïlande, la myocardite ou l’inflammation cardiaque a été constatée à un taux de 2,3% après l’administration de la deuxième dose du vaccin Pfizer, selon l’étude. En Suisse, les travailleurs de la santé ont signalé un taux de 2,8% de complications de ce type après l’administration de la dose de rappel Moderna.
En Israël, les travailleurs de la santé ont signalé un taux de [myocardite ou d’inflammation cardiaque de] 0,62% après l’administration de la deuxième dose de rappel du vaccin Pfizer. Des taux plus élevés de douleurs thoraciques (3,7%) et de palpitations (2,16%) ont également été enregistrés.
À Hong Kong, une étude de suivi des personnes vaccinées a révélé la présence de tissu cicatriciel myocardique potentiel chez 58% des participants.
« Les jeunes courent un plus grand risque d’être affectés par [le contenu du vaccin contre le Covid-19] que les personnes âgées, alors qu’ils courent un risque négligeable lié au virus du Covid-19 lui-même et qu’ils présentent une immunité naturelle robuste », indique l’étude.
De nombreuses autres études ont fait état de risques de problèmes cardiaques chez les personnes vaccinées. Une étude japonaise publiée le 19 septembre par la Radiological Society of North America a révélé que les personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 présentaient des niveaux élevés d’un analogue du glucose par rapport aux personnes non vaccinées, suggérant une inflammation cardiaque.
Une étude allemande publiée le mois dernier, qui a procédé à l’autopsie de 25 personnes, a révélé que cinq d’entre elles souffraient de myocardite. Ces personnes sont décédées « inopinément » dans les 20 jours qui ont suivi l’injection contre le Covid.
Des « vaccins » non testés
Les chercheurs de cette même étude de janvier 2024 remettent en question l’usage du terme « vaccin » pour désigner les vaccins contre le Covid-19 à ARNm et à vecteur viral ADN administrés à la population.
La vocation de ces produits est « incompatible avec le sens traditionnel du terme ‘vaccin' », selon l’étude. Leur incapacité à « prévenir l’infection ou la transmission des variants du Covid-19 a finalement conduit les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) à réinventer leur définition du terme ‘vaccin' ».
« En termes techniques et de conception pharmacologique, ces produits sont décrits avec précision comme des ‘promédicaments’ (c.-à-d. administrés sous forme inactive, puis métabolisés en forme active dans l’organisme, n.d.l.t). Le code génétique doit pénétrer dans les cellules humaines et subir une traduction avant que les résultats escomptés ne se produisent. Des conséquences inattendues sont donc possibles. »
Les chercheurs notent que, jusqu’en 2020, l’usage des technologies à ARNm et des vecteurs viraux était « limité à des circonstances rares ». En outre, ces produits sont « expérimentaux ».
« Les données indiquent que ces agents (les vaccins Covid à ARNm et à vecteur viral) n’auraient pas dû être imposés [à la population] », indique l’étude. « Imposer une thérapie médicale expérimentale, quelle qu’elle soit, revient à violer le droit fondamental à l’autonomie de la personne. »
Le Dr Peter McCullough, cardiologue, a mis en garde contre le fait que les vaccins à ARNm injectent un « code génétique étranger » dans les êtres humains, que l’organisme ne parvient pas à décomposer ou à expulser pendant une période prolongée. Dans une interview du 5 octobre, il a qualifié les vaccins à ARNm de « concept complètement raté. C’est un concept dangereux ».
En outre, des recherches récentes révèlent que les vaccins à ARNm de Pfizer traduisent mal les instructions de fabrication des protéines. Ce phénomène est appelé « frameshifting » (décalage de trame). Cette découverte a amené plusieurs spécialistes à conclure que les vaccins contre le Covid-19 sont fondamentalement défaillants.
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