À partir du mois du mois de novembre, de mini-radars tourelles vont être disposés dans les métropoles de Montpellier (Hérault) et de Montbéliard (Doubs).
Plus discrets, plus petits, bien qu’identiques à leurs grands-frères, les radars tourelles vont bientôt faire partie du décor dans nos centres-villes. Dès le mois de novembre prochain, ils vont être expérimentés dans les métropoles de Montpellier (Hérault) et de Montbéliard (Doubs).
D’après Le Figaro, fonctionnant en sous-régime, une dizaine de ces mini-radars seront installés sur des mâts ou bien fixés à du mobilier urbain. Ils seront testés pendant six mois, et pendant cette période, aucun automobiliste ne sera verbalisé.
Le mouchard des centres-villes
Au début de cette expérimentation, toutes leurs capacités ne seront pas exploitées. Le radar vérifiera le respect des vitesses, des feux rouges, des stops et des passages piétons. Par la suite, il détectera également le non-port de la ceinture, le téléphone au volant et le dépassement sur les voies cyclables. La sécurité routière indique que certains seront actifs et émettront des contraventions à un instant donné, tandis que d’autres, au même moment, auront un effet dissuasif.
Bon courage aux habitants de Montpellier et Montbéliard ! Avec cet argent dépensé en radars, on aurait probablement pu employer d’autres agents qui ne servent pas qu’à verbaliser en plus !https://t.co/VRPF8h01aE
— Guillaume Lauer (@guillaumelauer) October 6, 2020
Un appareil onéreux
Ces appareils vont coûter de 30 000 à 40 000 euros l’unité. Un contrat à 150 millions d’euros a été signé avec deux sociétés innovantes, Parifex au nord et Idemia au sud, et l’installation de ces nouveaux dispositifs nécessitera 50 millions d’euros supplémentaires.
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